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En se dispensant de commenter son calendrier, le président de la BCE a douché les anticipations d’une hausse des taux imminente et suscité un vif décrochage de l’euro...
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A priori, rien de nouveau n’a transparu du discours de Jean-Claude Trichet à l’issue de la dernière réunion mensuelle du conseil des gouverneurs de la BCE. Non seulement le principal taux d’intérêt a été maintenu pour le 22ème mois consécutif à 1%, mais aucune échéance ni information objective n’a été mentionnée sur une éventuelle hausse des taux directeurs. En se dispensant de commenter son calendrier, le président de la BCE a ainsi douché les anticipations d’une hausse des taux imminente (qui s’étaient renforcées suite à ses récentes déclarations sur une aggravation des tensions inflationnistes) et suscité un vif décrochage de l’euro.
Voilà pour le court terme. Mais plus fondamentalement, ce discours a permis à Jean-Claude Trichet de dissiper toute ambigüité dans le rôle à venir de la BCE. En se focalisant avec force sur l’[a[inflation]a], ce dernier a signifié sa volonté de sortir rapidement des mesures dites non conventionnelles de politique monétaire, de cesser les achats directs de dettes des pays périphériques et donc, de recentrer la BCE sur sa mission première. Le rôle de soutenir l’économie ou de venir en aide à des états en difficultés doit dès lors incomber à une autre institution, en l’occurrence le tout nouveau FESF, dont le récent succès de la première émission obligataire légitime a priori cette prétention.
Retour aux fondamentaux, donc : la BCE n’est ni la Fed, ni la [a[Banque]a] d’Angleterre. Quand ces dernières se posent en prêteurs en dernier ressort de leur souverain respectif, Jean-Claude Trichet réaffirme la nécessité de cesser toute monétisation de la dette publique, dont les conséquences inflationnistes vont justement à l’encontre de son mandat. Les états devront se débrouiller sans lui. Les investisseurs aussi.
Fabrice Cousté, DG de CMC Markets France.
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