EasyBourse : 300€ offerts en guise de bienvenue
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A la clôture, l’indice CAC 40 a cédé 21,31 points pour s’inscrire à 3.483,25 points, dans un volume d’échanges peu nourri avec 2,21 milliards d’euros qui ont changé de mains.
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La Bourse de Paris a terminé en recul lundi (-0,61%), dans un marché préoccupé par des résultats d’entreprises décevants alors que l’environnement reste toujours hésitant, surtout concernant l’Espagne.
Le marché a fait preuve d’hésitation une grande partie de la séance. Les investisseurs ont été notamment partagés sur les conséquences de la victoire de la droite en Espagne dont est issu le chef de son gouvernement, Mariano Rajoy, à l’issue d’un scrutin régional en Galice.
"Certains pensent que la victoire de la droite en Galice peut accélérer une demande d’aide du pays" et le marché a ainsi pu résister malgré des résultats d’entreprises décevants, a commenté Alexandre Baradez, analyste chez Saxo Banque.
Pour d’autres, la victoire de la droite va permettre à Madrid d’attendre avant de formuler une demande d’aide à l’Europe, ce qui est une mauvaise nouvelle pour les marchés.
"Quoi qu’il en soit, la situation reste floue sur l’Espagne, ce qui constitue toujours un frein à une hausse franche de la cote", souligne le courtier EtxCapital.
En l’absence de rendez-vous économique, les résultats des entreprises ont repris le dessus sur le marché en ce début de semaine. A cet égard, les chiffres ne sont pas réjouissants et les investisseurs les ont accueilli plutôt froidement.
La révision à la baisse des résultats annuels de Caterpillar a jeté un froid. Le premier constructeur mondial d’engins de chantier a abaissé lundi ses prévisions pour l’ensemble de l’année, malgré un bénéfice trimestriel en forte hausse et meilleur que prévu.
Cette annonce de Caterpillar s’ajoute à des résultats décevants, déjà publiés en fin de semaine dernière, notamment dans le secteur de la haute technologie, fait-on remarquer dans les salles de marché.
"La tendance est à la prudence dans l’attente d’unenouvelle salve de publications après la clôture", souligne M. Baradez.
"En l’absence d’indicateurs macroéconomiques, le marché évolue en fonction des résultats des entreprises qui sont pour l’instant mitigés et laissent les investisseurs hésitants", ajoute le courtier EtxCapital.
Du côté des valeurs, quelques titres se sont distingués à la hausse dont Ingenico (+2,33% à 39,59 euros) et Ubisoft (+1,78% à 6,88 euros).
La palme de la progression revient à NicOx qui a gagné 5,97% à 2,62 euros, dopé par l’annonce de la commercialisation d’un test oculaire aux Etats-Unis qui confirme, selon les analystes, le bien-fondé de la nouvelle stratégie du groupe orientée sur l’ophtalmologie.
Vivendi, qui profite depuis quelques temps de nombreuses rumeurs sur un nouveau positionnement stratégique, a progressé de 1,62% à 15,99 euros.
Les banques ont eu des fortunes diverses : Crédit Agricole (+1,04% à 6,24 euros), BNP Paribas (+0,27% à 40,9 euros) et Société Générale (-0,34% à 26,01 euros).
Du côté des baisses, on note le recul significatif de Nexans (-6,57% à 34,00 euros) qui a revu à la baisse sa prévision de marge opérationnelle pour le deuxième semestre.
Veolia Environnement a enregistré la plus forte baisse du CAC 40 (-4,97% à 8,08 euros) et Suez Environnement était également en recul (-1,56% à 8,30 euros). Les deux poids-lourds français des services à l’environnement ontdémenti travailler à un rapprochement, après des informations de presse évoquant un projet de fusion de leurs activités en France et à l’international.
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