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La Bourse de Paris a terminé lundi sous les 2.900 points (-3,41%), dans un marché en totale perte de confiance, ébranlé à la fois par l’avertissement lancé par Moody’s sur la France, les risques de contagion de la crise de la dette et malmené par le recul de Wall Street.
A la clôture, l’indice vedette a abandonné 102,70 points pour s’inscrire à 2.894,94 points, dans un volume d’échanges de 2,56 milliards d’euros.
Dès le matin, le marché a dévissé, réagissant à l’avertissement lancé par Moody’s sur la France et qui risque de se traduire par une prochaine dégradation de la note souveraine française. En milieu d’après-midi, le mouvement de baisse s’est accentué avec le recul de Wall Street.
L’agence de notation a estimé qu’une hausse des taux des obligations françaises et des perspectives de croissance économique détériorées, risquaient d’avoir des conséquences négatives sur la note de la dette de la France. En clair, cela signifie que la France risque de perdre son précieux "triple A" et sa perspective stable.
"Si la France perd son +triple A+ cela signifie que la crise de la dette se propage à des pays considérés comme solides mais c’est aussi tout le mécanisme financier de soutien à la zone euro via le fonds de secours européen qui est en péril, d’où la panique sur les marchés", a indiqué Waldemar Brun-Theremin, gérant d’actions chez Turgot Asset Management.
Les craintes d’une propagation de la crise de la detteont également traversé l’Atlantique. A Wall Street, les investisseurs s’inquiètent des conséquences sur les banques américaines, ce qui a accéléré la chute du marché et alimenté le recul à Paris.
Les risques d’une contagion de la crise de la dette créent un mouvement de défiance généralisé sur les marchés et les gens vendent à tour de bras, constate M. Brun-Theremin.
Signe de la gravité de la situation, toutes les valeurs de la cote et tous les secteurs sont touchés. Les bancaires sont pénaliséss mais également le secteur industriel.
Parmiles plus fortes baisses on note STMicroelectronics (-6,50% à 4,7 euros), Schneider Electric (-5,89% à 36,67 euros), Renault (-5,72% à 24,49 euros).
Les valeurs bancaires étaient malmenées, avec en tête des baisses Dexia (-11,56% à 0,26 euros). Crédit Agricole reculait de 5,51% à 4,13 euros, BNP Paribasperdait 4,33% à 26,85 euros et la Société Générale abandonnait 3,93% à 16,01 euros.
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