EasyBourse : 300€ offerts en guise de bienvenue
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La Bourse de Paris a plutôt bien accueilli jeudi le discours du président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, clôturant en nette hausse (+1,60%), mais les investisseurs restent prudents face à des incertitudes encore bien présentes.
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L’indice CAC 40, après plusieurs séances baissières, a gagné79,21 points à 5.032,30 points, dans un volume d’échanges nourri de 5,16 milliards d’euros.
Après une ouverture en léger repli, mais loin de la débâcle connue la veille par les Bourses américaines, la cote parisienne a progressivement gagné du terrain dès la matinée.
"Le marché a commencé à partir à la hausse en anticipant un peu des propos plutôt rassurants de la part de Mario Draghi et le fait qu’il ait validé cette approche a plutôt conforté les investisseurs", a dit à l’AFP Philippe Cohen, gérant chez Kiplink Finance.
Le rebond des marchés américains, suscité par de bons résultats trimestriels d’entreprises, est venu également encourager la place parisienne qui "a l’air de vouloir voir le verre à moitié à plein plutôt qu’à moitié vide" mais "une hirondelle ne fait pas le printemps", a-t-il ajouté, soulignant qu’un revirement de tendance n’est validé qu’après trois séances consécutives.
"Ce n’est pas parce qu’il y a une séance de hausse que tous les problèmes sont effacés", car ceux liés au Brexit, à l’Italie et la guerre commerciale ne sont pas résolus, a souligné l’expert.
La Banque centrale européenne a affiché sa confiance sur l’issue du bras de fer autour du budget italien et confirmé l’abandon progressif de son vaste soutien à l’économie, malgré les risques pesant sur la conjoncture.
Au sujet du Brexit, qui figure parmi les risques du moment surveillés par la BCE, M. Draghi a dit travailler avec la Banque d’Angleterre pour identifier les "risques potentiels" d’un divorce sans accord.
Du côté des indicateurs, le moral des entrepreneurs allemands a de nouveau baissé en octobre à 102,8 points, contre 103,7 points le mois précédent, selon le baromètre Ifo.
Aux États-Unis, les promesses de ventes de logements ont légèrement rebondi en septembre après trois mois de baisse, et les commandes industrielles de biens durables ont légèrement progressé en septembre, deux données qui ont surpris favorablement les analystes.
– SoLocal trébuche, Schneider Electric triomphe -
Sur le terrain des valeurs, la cote a eu de très nombreux résultats à digérer.
Schneider Electric a bondi de 7,48% à 62,06 euros, soutenu par la révision légèrement à la hausse jeudi de ses prévisions d’activité et de performance opérationnelle pour cette année.
Peugeot a grimpé de 6,69% à 20,33 euros, aprèsun chiffre d’affaires en hausse de 2,9% au troisième trimestre, dopé par le dynamisme d’Opel-Vauxhall.
Le secteur informatique, qui avait été laminé ces derniers jours, a repris des couleurs grâce à Capgemini qui s’est apprécié de 6,61% à 103,45 euros, porté par un relèvement de sa prévision de croissance sur l’exercice. Par ricochet, Atos a pris 3,05% à 68,16 euros et Sopra Steria 4,49% à 94,25 euros.
Le luxe, poids considérable dans le CAC 40, est remonté sur le devant de la scène : Kering a pris 3,00% à 381,10 euros et LVMH 2,23% à 265,45 euros.
Publicis a été à l’inverse affecté par le plongeon à la Bourse de Londres de son concurrent britannique WPP, après que ce dernier a alerté sur ses revenus annuels.
SoLocal s’est enfoncé pour sa part de 17,06% à 0,68 euro, lesté par un net recul de sesventes au troisième trimestre, en raison du fort déclin des annuaires mais aussi d’un repli du numérique.
Plastic Omnium a plongé de 4,44% à 23,70 euros, pénalisé par l’annonce jeudi d’une légère baisse de ses prévisions de ventes annuelles 2018.
Alten a grimpé en revanche de 6,21% à 82,95 euros après un chiffre d’affaires en hausse de 13,5% au troisième trimestre, à 1,656 milliard d’euros, porté par une forte croissance tant en France qu’à l’international.
Eramet a gagné de son côté 3,6% à 72,80 euros, tirant profit de ventes en progressionde 8% au troisième trimestre grâce à des prix en hausse malgré des volumes en retrait.
pan/fka/jlp
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