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Alors qu’une nouvelle crise alimentaire se prépare en raison de la hausse des cours boursiers de nombreux produits agricoles, la question de la régulation des marchés bat son plein. Explications...
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Mardi 4 septembre, les trois agences de l’ONU en charge des questions alimentaires ont lancé un appel "pour une intervention rapide et coordonnée à l’échelle internationale" afin d’éviter une crise alimentaire de l’ampleur de celle de 2007/2008.
En cause, l’envolée des prix de nombreuses denrées de première nécessité depuis plusieurs semaines. Cette montée des cours de certains produits agricoles a pour résultat un véritable risque de pénurie alimentaire. Depuis le mois de juin, le prix du blé a par exemple augmenté de 40 % à la [a[Bourse]a] de Chicago tandis que celui du maïs se renchérissait de 60 % ! Une explosion des prix qui se confirme un peu partout dans le monde entier.
Dans un communiqué adressé en commun par José Graziano da Silva, directeur général de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), Kanayo F. Nwanze, président du Fonds international pour le développement agricole (Fida), et Ertharin Cousin, directrice exécutive du Programme alimentaire mondial (PAM), les trois dirigeants appellent à lutter contre "les causes profondes de la hausse des prix alimentaires".
"La situation régnant sur les marchés alimentaires mondiaux, caractérisée par une forte hausse des cours du maïs, du blé et du soja, a suscité la crainte de voir se reproduire la crise alimentaire de 2007-2008. Cependant, une intervention rapide et coordonnée à l’échelle internationale peut empêcher sa répétition", ont expliqué les trois responsables.
Une nouvelle fois, se pose donc la question de la libre concurrence sur le marché international et du "droit à la spéculation" sur certaines matières premières au risque de provoquer des catastrophes humanitaires.
Le principe de la dérégulation des marchés doit-il connaitre une limite lorsque la vie de millions de personnes dans le monde est en jeu ? Si la réponse semble humainement évidente, elle est économiquement beaucoup plus complexe.
Pourtant, l’urgence humanitaire doit aujourd’hui prendre le pas sur des considérations économiques. La situation actuelle provient d’une très mauvaise récolte mondiale de maïs qui a fait monter l’ensemble des cours agricoles. Cette situation ressemble fortement à la crise alimentaire de 2007/2008 et montre que ce genre de risque est toujours présent.
Pour les trois ONG, "les prix alimentaires élevés sont un symptôme, et non la maladie. C’est pourquoi la communauté internationale doit prendre des mesures préventives pour empêcher des hausses excessives, tout en intervenant sur les causes profondes à l’origine de ces envolées de prix".
Une régulation des marchés à ce niveau semble donc nécessaire quand on sait qu’aujourd’hui des milliers de tonnes de grains s’échangent chaque jour sur les places boursières sans jamais quitter leurs silos. Pire, les récoltes de 2013, 2014 et même 2015 peuvent être partiellement prévendues sur le marché à terme à des prix exhorbitants.
Des lois supranationales pour encadrer les cours boursiers de certains produits de première nécessité sont aujourd’hui incontournables afin d’empêcher que des émeutes de la faim se produisent. Lors de la dernière crise, une quarantaine de pays avaient été touchés par la pénurie alimentaire.
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