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La baisse de l’Euro face au Dollar n’est pas finie, c’est du moins la vision de plusieurs analystes de renom sur le marché des changes. Longtemps sur-évalué, l’Euro va souffrir de la vigueur de l’économie américaine, de sa remontée des taux d’intérêts, face à une atonie de l’Europe, incapable de mener la moindre réforme en profondeur.
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L’euro chutait mardi face au dollar à son plus bas depuis douze ans, plombé par les divergences de politiques entre la BCE et la Réserve fédérale, qui semblaient encore plus flagrantes après des propos d’un responsable de la Fed. Le président de la Fed de Dallas, Richard Fisher, a apporté un soutien au dollar en se prononçant pour une hausse rapide des taux d’intérêt américains, sans quoi la première économie américaine risquait, selon lui, la récession.
Plus aucune raison d’acheter des euros pour les investisseurs financiers...
"Il n’y a tout simplement aucune raison d’acheter des euros", a résumé David Gilmore, de Foreign Exchange Analytics. "On continue à observer ce qui est en place depuis un moment : une amélioration d’une économie américaine déjà solide, qui laisse croire à un resserrement de la politique monétaire des Etats-Unis dès les prochains mois."
"La tendance haussière à court terme du dollar a été renforcée par les chiffres meilleurs qu’attendu de l’emploi aux États-Unis (publiés vendredi dernier) qui ont alimenté les spéculations sur le fait que la Fed va relever ses taux à partir du milieu de cette année",a de son côté jugé Lee Halpenny, analyste chez Bank of Tokyo-Mitsubishi.
Les différences semblent désormais "extrêmes" entre la Fed et la Banque centrale européenne (BCE), au lendemain du lancement d’un vaste programme de rachats d’actifs par l’institution de Francfort, a noté David Gilmore.
Cette mesure, qui couvrira plus de 1.100 milliards d’euros d’actifs à raison de 60 milliards par mois, doit relancer l’inflation et soutenir l’économie, mais aura comme effet collatéral de diluer la valeur de l’euro.
De plus, la monnaie unique, qui valait encore 1,12 dollar en début de semaine dernière, souffre de "chiffres médiocres", dont un ralentissement de la production industrielle en France et une baisse de celle-ci en Italie, "ainsi que d’incertitudes persistantes sur la Grèce", a estimé Eric Viloria, de Wells Fargo.
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