EasyBourse : 300€ offerts en guise de bienvenue
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La Bourse de Paris a rebondi mercredi (+0,72%), après trois jours de baisse consécutifs, tablant sur des mesures de grande ampleur de la BCE face au risque de déflation en zone euro.
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L’indice CAC 40 a pris 29,23 points à 4.112,73 points, dans un volume d’échanges relativement nourri de 3,5 milliards d’euros, au terme d’une journée marquée par l’attentat terroriste au siège du journal Charlie Hebdo à Paris. La veille, il avait perdu 0,68% après un fort décrochage lundi.
Le marché parisien a démarré la séance en timide hausse, avant de gagner plus franchement du terrain après la publication de l’inflation en zone euro, conforté par la progression de Wall Street.
Il a toutefois faibli en fin de journée, effaçant une grande partie de ses gains, après avoir pris jusqu’à 1,5%.
"La hausse a été alimentée par les mauvais chiffres de l’inflation qui ne font que renforcer les attentesvis-à-vis de la BCE", souligne Alexandre Baradez, analyste chez IG France.
Les prix ont baissé de 0,2% en décembre en zone euro sous l’effet de la chute des prix de l’énergie, nourrissant les craintes de déflation et faisant espérer aux marchés la mise en place d’un vaste programmede rachat d’actifs par la Banque centrale européenne qui tient sa réunion le 22 janvier.
"Cela contre-balance les inquiétudes concernant la Grèce mais on peut se demander si le rebond sera durable compte tenu de ce contexte d’incertitude politique", note M. Baradez.
Enfin, le principal indicateur américain du jour, à savoir une accélération des créations d’emplois en décembre dans le secteur privé aux Etats-Unis, a eu peu d’impact sur le marché, qui surveillera de près dans la soirée le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed).
Parmi les valeurs, Eiffage (+4,20% à 41,69 euros) et Vinci (+3,69% à 45,00 euros) ont progressé après la publication dans la presse d’une information évoquant un possible accord entre l’Etat et les concessionnaires autoroutiers.
Total s’est fortement repris (+2,27% à 40,83 euros), alors que les prix du pétrole ont un peu rebondi à l’ouverture à New York.
Airbus a été toujours recherché (+2,60% à 43,73 euros), bénéficiant de l’euro faible.
EDF a perdu 1,72% à 21,37 euros. Le juge des référés du Conseil d’État a rejeté la demande des concurrents d’EDF de suspendre un arrêté gouvernemental qui définissait la nouvelle méthode de calcul des tarifs réglementés de l’électricité.
Les valeurs bancaires sont restées sous pression, soumises au risque grec. BNP Paribas, qui a été affecté par un abaissement de recommandation par Barclays, a lâché 1,67% à 45,04 euros, Crédit Agricole 1,42% à 10,06 euros et Société Générale 1,07% 0 32,83 euros.
jbo/fpo/az
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