EasyBourse : 300€ offerts en guise de bienvenue
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La Bourse de Paris a clôturé sur une note positive (+0,55%) jeudi, au terme d’une séance calme ayant vu les investisseurs se focaliser sur la microéconomie faute de développements significatifs du côté du Brexit ou de la Banque centrale européenne.
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L’indice CAC 40 a pris 30,89 points à 5.684,33 points,dans un volume d’échanges limité de 3,4 milliards d’euros. La veille, il avait fini quasiment à l’équilibre .
La cote parisienne a ouvert en légère hausse et n’a pas dévié de cette tendance par la suite.
Nous avons connu "une séance très calme, où le CAC évolue légèrement dans le vert, proche de ses plus hauts niveaux" mais sans parvenir à les dépasser, a résumé auprès de l’AFP Daniel Larrouturou, gérant actions à Dôm Finance.
Le marché "manque de catalyseurs" pour poursuivre à la hausse, la "dernière réunion de Mario Draghi à la tête de la BCE n’ayant rien apporté de nouveau", a-t-il ajouté.
La Banque centrale européenne a confirmé ce jeudi l’arsenal de mesures dégainé en septembre, intégrant une baisse de taux et une relance controversée des rachats de dette tandis que son président sortant a estiméqu’une série d’"incertitudes", à commencer par les tensions commerciales et le Brexit, continuent à freiner l’économie en zone euro.
Sur ce dernier dossier, les 27 de l’Union européenne sont d’accord sur le principe d’un report du divorce d’avec le Royaume-Uni au-delà du 31 octobre pour éviter un "no deal" mais débattent de sa durée. Selon la présidente de la future Commission européenne Ursula von der Leyen, la probabilité que l’Union Européenne accepte un nouveau report du Brexit "semble très bonne".
"A partir du moment où la perspective du +no deal+ est écartée, ce n’est plus qu’une question de semaines ou de mois", a jugé M. Larrouturou.
Dans ce contexte, "les investisseurs sont plutôt concentrés sur l’aspect microéconomique avec la poursuite des publications des sociétés, qui offrent des résultats très contrastés selon les valeurs", a-t-il complété.
Du côté des indicateurs, La croissance de l’activité du secteur privé en France s’est redressée en octobre, à un plus haut depuis deux mois.
En zone euro, elle a en revanche de nouveau stagné en octobre, victime des incertitudes liées au Brexit etdes tensions sur le commerce international.
Outre-Atlantique, les commandes industrielles de biens durables ont fortement chuté en septembre après trois mois de hausse, en raison d’un vif repli des commandes dans le secteur des transports, tandis que les ventes de maisons neuves ont fléchi en septembre, conformément aux attentes, selon le département du Commerce.
– Atos et TechnipFMC aux deux extrémités du spectre -
En matière de valeurs, les fortunes ont été très diverses.
Atos a pris la tête de l’indice (+9,87% à 69,88 euros), porté à lafois par des résultats en ligne avec les attentes et par la rapide nomination d’Elie Girard pour remplacer Thierry Breton - proposé comme commissaire européen -, talonné de près par STMicroelectronics (+8,60% à 20,07 euros), qui a, lui, profité d’un retour à la croissance du chiffre d’affaires, dont il prévoit la poursuite dans le trimestre en cours.
TechnipFMC, en queue de peloton (-10,80% à 18,75 euros), a en revanche accusé le coup en raison de la chute de son bénéfice net de plus de 80% au troisième trimestre.
Europcar a pour sa part dévissé de 37,11%à 3,05 euros, plombé par l’abaissement de ses prévisions 2019 après des ventes et une rentabilité en deçà des attentes au troisième trimestre.
Hermès a gagné 1,95% à 637,80 euros grâce à une accélération de la croissance de ses ventes au troisième trimestre, due notammentà la Chine.
Scor est monté de 3,60% à 38,23 euros, fort d’un bénéfice net en hausse de 44% au troisième trimestre, un résultat supérieur aux attentes des analystes.
A l’inverse, Alten n’a pas tiré parti (-5,28% à 95,00 euros) d’une hausse de son chiffre d’affaires de16,9% sur les neuf premiers mois de l’année, à 1,936 milliard d’euros.
Plastic Omnium a terminé dans le rouge (-1,05% à 24,59 euros). Si les ventes demeurent solides (+10,7%), les difficultés du secteur automobile mondial pèsent.
Autre valeur à la peine, Dassault Systèmes a lâché 0,56% à 132,70 euros, malgré le relèvement de ses objectifs annuels et une hausse de 22% de son bénéfice net.
jra/pn/az
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