EasyBourse : 300€ offerts en guise de bienvenue
Easybourse, le courtier en ligne du groupe de la Banque Postale propose actuellement une offre de bienvenue permettant d’empocher 300 euros de (...)
La Bourse de Paris a clôturé en net recul (-1,63%) mercredi, sérieusement affectée par les polémiques à répétition autour du président américain Donald Trump.
Publié le par à 0 h 0
Offre exceptionnelle Bourse Direct : 1000 euros de frais de courtage offerts pendant 3 mois, pour l’ouverture de votre compte bourse (compte-titres, PEA, PEA-PME), offre à saisir jusqu’au 29 avril 2024.
L’indice CAC 40 a perdu 88,21 points à 5.317,89 points dans un volume d’échanges étoffé de 4,3 milliards d’euros. La veille, il avait fini en léger repli de 0,21%.
La cote parisienne a débuté dans le rouge et n’a eu de cesse de s’enfoncer en suite, accélérant encore le pas dans la foulée de l’ouverture en nette baisse de Wall Street.
"La baisse est complètement liée à la publication de nouvelles accusationssur Trump dans la nuit aux Etats-Unis qui ont engendré un mouvement d’aversion pour le risque. Toutes les valeurs refuge comme l’or ou les obligations souveraines ont ainsi été recherchées et à l’inverse les actifs plus risqués comme les actions ont été vendus", a expliqué à l’AFP Alexandre Baradez, un analyste de IG France.
"La volatilité, en sommeil ces derniers temps, a aussi fait un bond sur toutes les places boursières", a-t-il ajouté.
Déjà accusé d’avoir été trop bavard avec des diplomates russes, le président des Etats-Unis est désormais soupçonné d’avoir tenté de mettre fin à une enquête du FBI portant sur les connexions russes de Michael Flynn, son ancien conseiller en sécurité nationale, selon plusieurs médias américains.
Selon M. Baradez, "ce n’est pas seulement le risque politique qui inquiète les investisseurs. Avecl’importance prise par ces affaires, c’est également l’ampleur et le calendrier des réformes annoncées par l’administration Trump qui commence à poser question".
– EDF pénalisé -
Dans ce contexte, les indicateurs du jour comme l’inflation européenne, confirmée à 1,9% en avril, ou la baisse moins importante que prévu des stocks de pétrole sont passés au second plan.
Les investisseurs ont par ailleurs pris connaissance du nouveau gouvernement français paritaire de 22 membres dont deux Les Républicains à Bercy et l’ancien animateur de télévision Nicolas Hulot à la Transition écologique.
Cette annonce n’a toutefois pas eu d’impact sur la cote parisienne à l’exception du titre EDF, qui a réagit très négativement àl’arrivée de M. Hulot.
L’électricien a ainsi perdu 6,57% à 8,85 euros. Le titre a ainsi accéléré nettement sa descente après l’annonce de la nomination de Nicolas Hulot. A l’inverse, la valeur avait fortement progressé mardi dans le sillage de la nomination d’Edouard Philippe, unancien d’Areva, au poste de Premier ministre.
Ubisoft a reculé de 3,62% à 46,97 euros, pâtissant de résultats jugés inférieurs aux attentes même si l’éditeur français de jeux vidéo, convoité par Vivendi, a publié un bénéfice net en hausse de 15% à 107,8 millions d’euros pourson exercice décalé 2016/17.
abx/fpo/nth
Easybourse, le courtier en ligne du groupe de la Banque Postale propose actuellement une offre de bienvenue permettant d’empocher 300 euros de (...)
La France reste le pays le plus attractif pour la 5e année consécutive, dans une Europe en perte de vitesse
Selon l’INSEE la croissance du PIB de la France ne serait que de 0.2 % au premier trimestre 2024.
Comment suivre les taux d’intérêts de la dette française ?
La hausse du prix du pétrole a, une nouvelle fois, boosté les résultats de TotalEnergies.
Atawey ambitionne de devenir un des leaders de la mobilité hydrogène en Europe.