EasyBourse : 300€ offerts en guise de bienvenue
Easybourse, le courtier en ligne du groupe de la Banque Postale propose actuellement une offre de bienvenue permettant d’empocher 300 euros de (...)
En dépit de nouvelles mesures de soutien préparées conjointement par l’UE et le FMI, le refinancement des Etats périphériques de la zone euro reste critique...
Publié le par
Offre exceptionnelle Bourse Direct : 1000 euros de frais de courtage offerts pendant 3 mois, pour l’ouverture de votre compte bourse (compte-titres, PEA, PEA-PME), offre à saisir jusqu’au 29 avril 2024.
En dépit de nouvelles mesures de soutien préparées conjointement par l’UE et le FMI, le refinancement des Etats périphériques de la zone euro reste critique. Les spreads de crédit des dettes grecque et portugaise se sont à nouveau élargis, atteignant respectivement des taux records de 15,9 % et 9,4 % (obligations à 10 ans). D’autant que ces conditions d’emprunts sont alourdies par la récente hausse des taux de la BCE, visant à lutter contre l’[a[inflation]a], mais contribuant parallèlement au renchérissement de la dette de tous les pays appartenant à la zone euro.
Face à ces facteurs d’incertitude, les investisseurs sont plus que jamais à la recherche d’alternatives à la monnaie unique. De ce point de vue, les obligations émises par la Suède et par la Norvège offrent des solutions de diversification attractives.
Appartenant à l’UE, la Suède et la Norvège n’ont pas rejoint l’Euro en 1999. Ces deux pays sont restés « souverains » en conservant leur monnaie et le contrôle de leur politique monétaire. Ainsi, pour contenir l’[a[inflation]a] engendrée par une forte croissance depuis mi-2009, la Riksbank vient de relever son taux d’intérêt directeur pour la sixième fois (à 1,75%) et la Norges Bank a déjà relevé le sien à trois reprises (à 2%).
Ce processus de renchérissement du loyer de l’argent et d’appréciation des devises nordiques devrait se poursuivre. En effet, les économies nordiques ont accéléré le rythme en 2010, emmenées par la Suède, qui a enregistré un taux de croissance record de 5,5%. Ces pays se trouvent dans une situation très enviable grâce à une croissance tirée par les marchés émergents, des finances publiques saines et le rebond de leur demande intérieure.
Dans ce contexte, nous estimons que les obligations des pays nordiques offrent aujourd’hui de multiples avantages, en termes de qualité de crédit, de rendement et de liquidité :
« La dette allemande est considérée comme la valeur refuge de référence sur le marché des taux européens. Ce type d’obligations est de relativement bonne qualité mais offre, de facto, un potentiel de diversification très limité au sein de la zone euro. Il devient donc nécessaire d’améliorer le profil de risque des portefeuilles obligataires en y ajoutant une proportion de titres de créance émis par des Etats bénéficiant de fondamentaux robustes, au seuil de la zone euro.
Au cours des dix dernières années, la Norvège et la Suède ont bien géré leurs finances publiques, tout en enregistrant une croissance supérieure grâce à une forte compétitivité. Ces pays présentent des modèles économiques mixtes, où l’Etat est fortement impliqué dans les secteurs industriels les plus stratégiques. Aujourd’hui, les niveaux de leur déficit budgétaire comme de leur endettement public, sont parmi les plus faibles en Europe. L’appréciation continue de leurs devises contre l’Euro en est l’expression la plus évidente. »
Parmi l’ensemble de ses actifs sous gestion, Nordea Investment Funds compte 36 milliards d’euros investis en obligations nordiques. Dans le cadre de sa [a[SICAV]a] Nordea 1, Nordea Investment Funds propose notamment quatre solutions d’[a[investissement]a], libellées en devise locale ou en Euro :
– Nordea 1 - Swedish Kroner Reserve (LU0064321663)
– Nordea 1 - Swedish Bond Fund (LU0064320186)
– Nordea 1 - Norwegian Kroner Reserve (LU0078812822)
– Nordea 1 - Norwegian Bond Fund (LU0087209911)
Source Agence FARGO
Easybourse, le courtier en ligne du groupe de la Banque Postale propose actuellement une offre de bienvenue permettant d’empocher 300 euros de (...)
La France reste le pays le plus attractif pour la 5e année consécutive, dans une Europe en perte de vitesse
Selon l’INSEE la croissance du PIB de la France ne serait que de 0.2 % au premier trimestre 2024.
Comment suivre les taux d’intérêts de la dette française ?
La hausse du prix du pétrole a, une nouvelle fois, boosté les résultats de TotalEnergies.
Atawey ambitionne de devenir un des leaders de la mobilité hydrogène en Europe.