EasyBourse : 300€ offerts en guise de bienvenue
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A 11H52 (10H52 GMT), l’indice CAC 40 perdait 71,84 points à 3.638,04 points, après avoir lâché brièvement plus de 2%, dans un volume d’échanges de 1,324 milliard d’euros. La veille, il avait déjà abandonné 0,69%.
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La Bourse de Paris creusait ses pertes jeudi en fin de matinée (-1,94%), affectée par ses craintes concernant l’avenir de la politique monétaire ultra-accommodante de la Fed et un indicateur d’activité préoccupant en zone euro.
Comme Wall Street, le marché parisien réagissait négativement à la publication mercredi soir des minutes de la dernière réunion de la Fed (Réserve fédérale américaine).
Elles ont révélé qu’un nombre important de dirigeants de la banque centrale américaine s’inquiétaient du cap actuel de la politique monétaire ultra-accommodante, qui passe notamment par des rachats d’actifs à hauteur de 85 milliards de dollars par mois.
"Les liquidités de la Fed dopent les marchés depuis plusieurs mois, voire des années", rappelle Renaud Murail, gérant chez Barclays Bourse.
"Pour l’instant, la question est posée mais ce n’est pas pour cela que les mesures vont d’arrêter tout de suite. Cela dit, si elles s’arrêtent à un moment, cela voudra dire que l’économie réelle va mieux", explique-t-il.
Les marchés ont dû encaisser en outre une contraction de l’activité privée en zone euro en février, contre toute attente et après un répit en janvier, ce qui témoigne d’une accentuation de la récession, selon l’indice PMI.
"L’amélioration de la situation en Europe a été jusqu’à présent surtout ressentie sur les marchés, tandis que l’économie réelle reste en plein marasme", constate Peter vanden Houte, économiste chez le bancassureur néerlandais ING.
Les investisseurs n’ont dans le même temps pas réagi à un emprunt obligataire de plus de 4 milliards d’euros à des taux en baisse de l’Espagne.
Le marché se préparait désormais à plusieurs indicateurs américains sur l’activité, l’emploi et l’immobilier.
Parmi les valeurs, les banques pesaient sur l’indice àl’image de BNP Paribas (-3,38% à 43,02 euros), Crédit Agricole (-4,05% à 7,30 euros) et Société Générale (-3,72% à 29,53 euros).
De même, les valeurs cycliques, dépendantes de la conjoncture, reculaient, comme ArcelorMittal (-3,30% à 11,56 euros) et Bouygues (-3,35% à 19,49 euros), ainsi que des poids lours du CAC 40, à l’instar de Sanofi (-2,83% à 71,68 euros) et Total (-1,80% à 37,27 euros).
Le marché parisien était par ailleurs animé par une série de résultats d’entreprises françaises.
Vallourec gagnait 2,18% à 41,33 euros après avoir ditviser une progression de ses ventes et de sa rentabilité opérationnelle en 2013.
Schneider Electric prenait 2,83% à 56,96 euros. Son bénéfice a augmenté de 3% en 2012, grâce notamment à des hausses de prix.
Capgemini (+1,00% à 37,23 euros) a de son côté annoncé avoirpassé en 2012 la barre des 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires, mais a publié une baisse de 9% de sa rentabilité.
Technip gagnait 1,33% à 80,00 euros après s’être montré optimiste pour 2013 à la suite de nouveaux bénéfices record l’an dernier.
Artprice.com (+4,28% à 27,80 euros) bondissait après avoir conclu une "alliance stratégique" avec Artron, conglomérat qui gère notamment les statistiques et les données du marché de l’art chinois.
En revanche, la baisse de 1% du bénéfice net de l’assureur Axa (-2,55% à 13,35 euros) était sanctionnée.
Saint-Gobain perdait 1,66% à 30,89 euros après une chute de 40,3% de son bénéfice net en 2012, le contraignant à porter son plan d’économies à 1,1 milliard en 2013.
Enfin, Safran perdait 3,17% à 33,96 euros malgré des résultats record en 2012.
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