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Le Premier ministre Manuel Valls a déclaré mercredi qu’il n’y avait "pas d’autres choix" que de "réduire les déficits publics", y voyant une "question de crédibilité" pour la France.
"Réduire les déficits, il n’y a pas d’autres choix, c’est une question de crédibilité pour la France. Notre dette, nous devons la maîtriser, sinon nous perdons notre souveraineté nationale", a-t-il estimé, précisant qu’il fallait, "en même temps", "préserver ces services publics qui sont indispensables à la solidarité, à la cohésion de notre pays".
Lundi, le président François Hollande avait donné le sentiment qu’il était prêt à relâcher un peu l’effort sur la réduction du déficit, malgré les engagements européens.
Le gouvernement de Manuel Valls "aura aussi à convaincre l’Europe que cette contribution de la France à la compétitivité, à la croissance, doit être prise en compte dans le respect de nos engagements", avait assuré le chef de l’Etat.
La France s’est éloignée en 2013, avec un déficit équivalent à 4,3% de son produit intérieur brut, de ses objectifs européens de réduire le déficit public à moins de 3% d’ici à 2015. Bruxelles a prévenu qu’il veillerait au respect de l’engagement français.
Quant à la manière de parvenir à réduire les déficits, le Premier ministre a rappelé le pari du pacte de responsabilité pour relancer la croissance. Le gouvernement va "mobiliser 20, plus 10 milliards, sans doute davantage, pour les entreprises mais aussi pour les salariés", a-t-il souligné.
"Nous voulons baisser les cotisations des entreprises et nous voulons aussi baisser la fiscalité sur les ménages", a ajouté M. Valls, reconnaissant néanmoins que "ça n’est pas facile à faire".
"Je pense que quand on est de gauche, on ne peut pas accepter cette fiscalité, ces impôts qui pèsent sur nos concitoyens : 60 milliards au cours de ces dernières années, 30 milliards pour la droite, 30 milliards pour la gauche", a déclaré le Premier ministre.
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