EasyBourse : 300€ offerts en guise de bienvenue
Easybourse, le courtier en ligne du groupe de la Banque Postale propose actuellement une offre de bienvenue permettant d’empocher 300 euros de (...)
Stelphia Asset Management : l’actualité récente a été particulièrement riche pour les grands marchés obligataires...
Publié le par
Offre exceptionnelle Bourse Direct : 1000 euros de frais de courtage offerts pendant 3 mois, pour l’ouverture de votre compte bourse (compte-titres, PEA, PEA-PME), offre à saisir jusqu’au 29 avril 2024.
Aux Etats-Unis, l’essentiel des débats s’est concentré sur la question de la deuxième phase de « quantitative easing ». La Réserve Fédérale a indiqué que le taux d´[a[inflation]a] était trop bas pour que l’économie aille suffisamment de l’avant. Il est clair que son objectif à court terme est bien, par une injection significative de liquidités, de dégeler le comportement frileux d’un certain nombre d’opérateurs à la fois dans l’économie réelle et sur les marchés financiers. On peut même dire que le maintien des taux longs à des niveaux très bas devient à ce stade un élément de second ordre.
Des taux bas rendent possible, mais non certaine une croissance des agrégats monétaires. Les achats de titres de la [a[banque]a] centrale sont bien plus efficaces dans ce domaine. A long terme, la Réserve Fédérale semble, comme la [a[Banque]a] d’Angleterre, avoir bien compris que l’amélioration du ratio dette sur PIB ne serait possible qu’avec des taux d’[a[inflation]a] plus élevés.
Au sein de la zone euro, le contexte est différent, même si l’excès d’endettement des Etats, Allemagne y compris, est une réalité d’une ampleur comparable. La disparité des situations empêche l’émergence d’une réflexion à l’échelle de la zone entière. Le gouvernement allemand, privé de toute réflexion stratégique de niveau européen, n’a pas développé de discours sérieux sur les moyens à mettre en œuvre concrètement pour améliorer la situation des marchés des pays de la périphérie européenne.
Il ne fait rien pour démentir officiellement que selon lui, la stabilité des marchés de dette pourrait passer par un schéma de défaut organisé des Etats en cas de difficulté de ceux-ci : cette idée parait tellement dénuée de fondement que des membres de la Commission Européenne et de la BCE ont exprimé des réserves, parfois très fortes.
Cela est un deuxième facteur d’instabilité, et les taux des pays périphériques restent très vulnérables, alors même que la plupart des actifs « à risque » sont en phase d’amélioration. Il est logique dans ce contexte que le Bund ait eu des variations importantes en octobre, pour évoluer entre 2.22% et 2.56%.
Le montant du quantitative easing est maintenant connu. Les mouvements pourraient être moins importants et les taux allemands évoluer en novembre entre 2,30% et 2,65%.
Etienne Pourny, Président Directeur Général de Stelphia Asset Management
Easybourse, le courtier en ligne du groupe de la Banque Postale propose actuellement une offre de bienvenue permettant d’empocher 300 euros de (...)
La France reste le pays le plus attractif pour la 5e année consécutive, dans une Europe en perte de vitesse
Selon l’INSEE la croissance du PIB de la France ne serait que de 0.2 % au premier trimestre 2024.
Comment suivre les taux d’intérêts de la dette française ?
La hausse du prix du pétrole a, une nouvelle fois, boosté les résultats de TotalEnergies.
Atawey ambitionne de devenir un des leaders de la mobilité hydrogène en Europe.