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En l’absence d’une solidarité plus fortement affirmée entre les émetteurs européens, les achats de dettes publiques par la BCE seront insuffisants pour resserrer les écarts de rendement au sein de la zone. Ralentissement de la croissance américaine et baisse du prix du pétrole renforcent parallèlement les pressions à la baisse sur les taux allemands.
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Les facteurs qui ont amené le rendement du Bund à leur niveau le plus bas sont toujours présents. La mise en place du FESF (Fonds Européen de Stabilisation Financière) n’a pas permis de faire baisser les spreads des émetteurs de la périphérie de la zone euro. Et les achats d’obligations publiques par la BCE (59 milliards d’euros depuis le 10 mai) restent insuffisants pour inverser la tendance en place depuis plusieurs mois et réduire les écarts de rendement, qui oscillent toujours autour de niveaux historiquement élevés. La mise en place du FESF était une mesure d’urgence nécessaire. On constate qu’elle est insuffisante.
Il est possible que seule la création d’un émetteur commun à l’ensemble des Etats de la zone permette une amélioration significative. A défaut, les investisseurs risquent de continuer à demander une prime de risque conséquente aux pays réputés les plus vulnérables (Espagne, Portugal, Irlande et bien sûr, Grèce) et de leur préférer les obligations allemandes et dans une moindre mesure, françaises.
Dans ce contexte, les taux allemands devraient donc rester non loin de leurs niveaux actuels. Ils le feront d’autant plus que d’autres facteurs fondamentaux font désormais pression à la baisse sur les rendements. D’une part, les dernières annonces conjoncturelles aux Etats-Unis (marché du logement, emploi…) et les plans d’austérité annoncés en Europe laissent présager une croissance un peu moins forte dans les prochains mois. D’autre part, le recul du prix du pétrole atténue les perspectives de hausse des prix.
Sauf annonce surprise (mais improbable dans un délai aussi court) d’une initiative radicale concernant la gestion de la dette des Etats de la zone euro, les taux allemands à 10 ans devraient continuer d’osciller entre 2,50% et 2,75% au cours des semaines à venir.
Bourse Tendance avec Agence Fargo
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