
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
Jérôme Kerviel est jugé en appel par le tribunal de Paris dés aujourd’hui, après avoir été condamné à payer les quelques 5 milliards d’euros qu’il a fait perdre à la Société Générale. Détails...

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Le procès en appel de Jérôme Kerviel, ancien trader de la Société Générale, s’ouvre ce lundi 03 juin à Paris. Condamné en première instance à cinq ans de prison dont trois fermes pour avoir fait perdre près de 5 milliards d’euros à la banque française, l’accusé assure avoir de nouveaux éléments pour prouver son innocence et le fait que la banque était bien au courant de ses activités.
Aujourd’hui âgé de 35 ans, Jérôme Kerviel compte passer à l’offensive en accusant la Société Générale de manipulation et de mensonge. Il espère ainsi voir sa peine de prison abrogée et surtout les dommages et intérêts de 4,9 milliards d’euros supprimés.
Cette nouvelle stratégie offensive a été confirmé il a quelques jours quand Maitre David Koubi, son avocat, a déposé deux plaintes pour "faux" et "escroquerie au jugement". De plus, l’avocat de M. Kerviel a déclaré que la banque avait déjà récupéré 1,7 milliard d’euros sur les 4,9 milliards via des déductions fiscales.
De son côté la Société Générale a réagit en portant plainte pour "dénonciation colomnieuse".
M. Koubi entend démontrer au cours du procès que la banque était au courant des positions risquées prises par Jérôme Kerviel pour un montant de 50 milliards ainsi que le camouflage de ses positions ultra-risquées grâce à la passations d’ordres fictifs, une pratique que la banque aurait même encouragé.
Lors du premier procès, une pièce à conviction (un enregistrement entre Jérôme Kerviel et ses supérieurs) aurait été tronqué pour faciliter la condamnation de l’ancien trader. La banque se défend évidemment d’une telle manipulation.
Dans tous les cas, la Société Générale qui lutte aujourd’hui pour retrouver une stabilité boursière n’a pas besoin de ce genre de mauvaise publicité et les répercussions de ce procès pourraient bien être très négative pour la banque française.


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