
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
La BCE a effectué une nouvelle opération de refinancement auprès des banques européennes à hauteur de 529 milliards d’euros. Si l’opération a eu le mérite de détendre les marchés, du côté des banques on s’interroge sur la stratégie future de l’institution européenne. Détails...

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Après la nouvelle opération d’injection monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) de 529 milliards d’euros, le marché a repris confiance dans le secteur bancaire.
En effet, le soutien sans faille que semble donner la BCE aux banques européennes a engendré un mouvement positif sur les marchés avec une diminution de l’indice Itraxx qui mesure la dette des banques européennes et une vraie détente sur les "credit default swaps" (CDS) qui traduisent la perception des risques des banques par les investisseurs.
En France, les CDS ont ainsi perdu entre 5 et 20 points, aux alentours de 5 points en Allemagne et entre 16 et 20 points en Italie.
Cependant, le manque de communication de la BCE sur les futurs interventions et sur sa volonté à poursuivre la même politique commence à inquiéter les banques.
Ce sont surtout les banques qui n’ont pas ou peu participé à l’opération qui s’interrogent le plus. Ces banques, comme BNP Paribas, Rabobank ou la BPCE ont fait un choix économique de ne pas participer à l’opération et se sont regroupées pour organiser un financement autonome. Elles ont ainsi réduit leurs bilans et axé leurs efforts sur le captage des dépôts.
Une stratégie vertueuse qui pourrait être remise en cause si la BCE persiste dans la même voie. Pour le moment, la BCE a laissé entendre que l’offre de liquidité pourrait se poursuivre jusqu’en 2015, mais du côté des banques, on attend maintenant "un message clair".
Si les marchés ont repris confiance, les effets sur la croissance se font encore attendre et ne devrait d’ailleurs pas se faire sentir dans un futur proche d’après les experts.
La raison majeure de ce constat, c’est que malgré une relance des emissions obligataires des banques (98 milliards d’euros depuis le début de l’année), la majorité du premier prêt de la BCE a été utilisé par les banques pour racheter leur propre dette sur les marchés financiers, une situation qui pourrait obliger la BCE à revoir sa position et à arrêter ses opérations de crédits préférentiels.


Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.

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