
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
Les Bourses européennes semblaient prises d’un mouvement de panique vendredi après-midi, s’enfonçant dans le rouge et sacrifiant le secteur bancaire, plombées par la crise en zone euro...

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Les Bourses européennes semblaient prises d’un mouvement de panique vendredi après-midi, s’enfonçant dans le rouge et sacrifiant le secteur bancaire, plombées par la crise en zone euro, les pertes de Wall Street et la démission de l’économiste en chef de la BCE Jurgen Stark.
Alors que s’ouvrait le sommet du G7 à Marseille, où les grandes puissances devaient tenter de formuler une réponse convaincante à la crise, un regain d’inquiétudes sur la santé économique de la zone euro et la reprise économique mondiale faisait dévisser les marchés.
En milieu d’après-midi, les principales places financières du continent ont cédé jusqu’à 3%, Paris lâchant 3,21%, Francfort 3,03% et Milan 3,30% tandis que Londres résistait un peu mieux en n’abandonnant que près de 2%.
A Paris, Société Générale, la plus malmenée, perdait plus de 10% à 17,49 euros victime, comme les autres groupes bancaires en Europe, de la défiance des investisseurs sur fond de rumeurs sur leur mauvaise santé financière.
Sur le marché des changes, l’euro repassait sous le seuil de 1,37 dollar pour la première fois depuis fin février.
Vers 13H40 GMT, la devise européenne est tombée à 1,3699 dollar contre 1,3880 dollar jeudi à 21H00 GMT, son niveau le plus faible depuis le 23 février, avant d’osciller autour de 1,37 dollar.
Alors que la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, a exhorté vendredi matinles pays développés à "agir avec audace" pour contrer le ralentissement de la croissance économique, les Européens affichaient à nouveau leurs dissensions.
Vendredi après-midi, le chef économiste de la BCE, l’Allemand Jurgen Stark, a démissionné de ses fonctions, invoquant "des raisons personnelles".
Toutefois le haut responsable avait exprimé à plusieurs reprises ces dernières semaines son opposition au programme de rachat d’obligations publiques mené par la BCE pour soulager les pays fragiles de la zone euro.
Et de son côté le ministre des Finances allemand Wolfgang Schäuble opposait une fin de non-recevoir à de nouveaux programmes de conjoncture qui dégraderaient les finances publiques.
"Combattre la crise avec un endettement encore plus prononcé, cela serait exactement le mauvais chemin à prendre", a-t-il déclaré vendredi après-midi.
Outre-Atlantique la Bourse de Wall Street, peu convaincue par le plan de relance de l’emploi présenté la veille par le président américain Barack Obama, a encore ajouté à la nervosité ambiante en ouvrant en baisse : le Dow Jones perdait 1,07% et le Nasdaq 0,79%.


Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.

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