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Les marchés européens ont été à l’arrêt mercredi, dans une journée pauvre en indicateurs économiques et avec des opérateurs perplexes face à l’arrêt des négociations sur un plan de relance économique aux Etats-Unis.

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Sur les principales places européennes, Londres s’est replié de 0,06%, et Paris de 0,27% après plusieurs séances de hausse. En revanche, Francfort a encore gagné 0,17%. Les marchés européens ont réagi avec moins d’emballement que leurs homologues outre-atlantique sur les nouvelles péripéties autour du plan de relance américain. Wall Street se redressait mercredi peu après la clôture des bourses européennes, le Dow Jones et le Nasdaq gagnant un peu plus de 1,50% après avoir nettement baissé mardi.
Mardi, Donald Trump a d’abord mis fin aux négociations avec les démocrates sur un plan de relance de la première économie mondiale, avant de laisser une porte ouverte à quelques mesures ciblées. "Les discussions globales vont reprendre après l’élection présidentielle mais républicains et démocrates pourraient travailler ensemble sur des secteurs où ils pourraient trouver un terrain d’entente. Une mini-version du plan de relance est donc possible", estime David Madden, analyste de CMC Markets.
La prudence reste surtout de mise pour les investisseurs en raison des incertitudes politiques, le vote américain se rapprochant, mais aussi sanitaires et géopolitiques avec les discussions autour du Brexit qui arrivent dans leur dernière phase sans qu’un accord ne soit encore trouvé.
Le président du Conseil européen, Charles Michel, a appelé sur Twitter le Royaume-Uni à "jouer cartessur table" dans les négociations en affirmant que "l’UE préfère un accord, mais pas à n’importe quel prix". Peu après la fermeture des marchés européens, Londres s’est dit "prêt" à un échec des négociations.
Le marché de la dette restait encore une fois stable dans les principaux pays de la zone euro.
Le constructeur automobile Daimler a progressé de 1,99% à 49,09 euros après avoir indiqué qu’il comptait réduire ses coûts de 20% d’ici 2025 et redoubler d’efforts pour électrifier son offre sous pression de la règlementation européenne. En France, Renault est sur le podium du CAC 40, avec une hausse de 2,21% à 23,38 euros.
Les valeurs pétrolières étaient pénalisées par la baisse des cours du brut dans la foulée des annonces de DonaldTrump sur le plan de relance. BP a perdu 2,04% à 215,85 pence et Royal Dutch Shell 1,75% à 936,90 pence. En France, TOTAL a perdu 1,19% à 29,17 euros.


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