Dette américaine : sans surprise, un accord trouvé sur l’extension du déficit
Véritable marronnier journalistique, le plafond de la dette américaine sera, une nouvelle fois, relevé sans réelle difficulté. Un sketch tout à la (...)
Troisième semaine de hausse consécutive sur les marchés actions qui se rapprochent de plus en plus de leur niveau du début d’année pour, -pourquoi pas ?-, terminer l’année en positif...
Publié le par
Une nouvelle fois, les indices européens surperforment les marchés américains. L’Eurostoxx50 et la CAC 40 progressent ainsi de plus de 1% sur la semaine, tandis que le S&P500 ne prend « que » 0.7%, suspendu à l’entrée en vigueur prochaine, mais pour des montants encore inconnus, du « Quantitative Easing 2 ».
Les publications de résultats des entreprises ont continué de soutenir la hausse des marchés. Au 22 octobre, sur 38% des sociétés du S&P500 ayant publié des chiffres, 80% ont publié des Bénéfices Par Actions supérieurs aux attentes. Le taux de change Euro/Dollar se stabilise juste en deçà des 1.40$, à 1.3954.
De la réunion des ministres des finances du G20, il ne ressort, comme on pouvait s’y attendre, que des expressions de bonnes intentions dépourvues de décisions concrètes. Les Etats affichent dans le communiqué final leur volonté de coopérer sur la question du [a[marché des devises]a] et des déséquilibres actuels. Néanmoins, avant la réunion des chefs d’Etat du G20 les 11 et 12 novembre, il serait vain d’attendre des interventions coordonnées sur le marchés des changes.
Par ailleurs, alors que les marchés américains demeurent suspendus aux décisions de la Fed quant à la nouvelle phase d’injection de liquidités, plusieurs voix s’élèvent pour mettre en doute la pertinence et l’efficacité d’un tel plan. En premier lieu, on peut s’interroger sur la qualité d’un remède qui a déjà échoué par le passé à remettre l’économie américaine sur les rails. Il est fort peu probable que les nouvelles liquidités injectées dans l’économie parviennent là où des sommes bien plus importantes ont échoué.
En outre, si cette mesure permet d’éloigner le spectre de la déflation, elle risque de provoquer une hausse des prix qui pourrait mettre à mal la reprise timide de la consommation des ménages américains. Enfin, les coûts de cette politique sont difficilement identifiables et quantifiables, mais ils sont en tout cas bien réels. Les marchés font donc reposer trop d’attentes sur la réunion de la Fed du 3 novembre au cours de laquelle la décision d’initier une nouvelle phase d’assouplissement monétaire serait prise. S’il est fort probable que cette mesure aura des effets positifs, ceux-ci seront mesurés tandis que le coût à payer sera élevé.
Cette semaine, après avoir bien profité du mouvement de hausse des marchés, nous avons pris la décision de prendre une partie de nos gains et avons réduit notre exposition aux actions à 80%. Le fonds EFG Maxima progresse de 1%, contre 1.1% pour l’Eurostoxx50. Depuis le début de l’année, le fonds conserve un écart important puisqu’il affiche 5.7% de gains quand l’Eurostoxx50 perd 3.1%. Le fonds prudent EFG Optimum reste stable sur la semaine (-0.03%). Sa performance depuis Janvier 2010 est de +3.5%.
BT avec source EFG AM France
Véritable marronnier journalistique, le plafond de la dette américaine sera, une nouvelle fois, relevé sans réelle difficulté. Un sketch tout à la (...)
Décidemment, c’est bien mal embarqué pour les actionnaires minoritaires d’ORPEA. L’AMF autorise la dérogation nécessaire à la prise de contrôle de la (...)
Cela sent l’enfumage de premier ordre, cette envolée sur le titre Nvidia promet d’être sportive.
Actions fractionnées : investir sur des fractions d’actions ne permet pas forcément de devenir actionnaire !
Comme attendu, les actionnaires particuliers d’EDF verront leurs actions EDF vendues à 12 euros dans les prochains jours, avec ou sans leur (...)
Facebook doit répondre de transferts illégaux de données personnelles d’Européens vers les USA. Ce qui est formellement interdit sans consentement (...)