Dette américaine : sans surprise, un accord trouvé sur l’extension du déficit
Véritable marronnier journalistique, le plafond de la dette américaine sera, une nouvelle fois, relevé sans réelle difficulté. Un sketch tout à la (...)
Après une année 2010 imprévisible et riche en rebondissements, EFG Asset Management, se projette en 2011 dans sa lettre hebdomadaire.
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La semaine qui vient de s’écouler aura été à l’image de
l’année qu’elle clôture : imprévisible et déroutante. Alors que
les intervenants de marché avaient déserté leur poste en
masse, à l’occasion des fêtes de fin d’année, et que tous se
projetaient déjà sur le début de l’année 2011, le retour
surprise d’une volatilité sans volume a précipité une forte
baisse sur les marchés actions européens.
L’Eurostoxx50 et le
Cac40 perdent près de 2.5% sur la semaine, ce qui leur fait
clôturer 2010 sur une baisse annuelle de -5.8% et -3.3%
respectivement. La volatilité de l’indice européen progresse
sur la semaine de plus de 22%.
La situation est bien
différente sur les marchés américains, à l’image du S&P500
qui reste stable sur la semaine et clôture l’année sur une
performance positive de +12.8%.
Si certaines analyses nous
annoncent la fin du monde, - ou presque -, de nombreux
facteurs indiquent toujours une croissance de l’activité
économique, et ce pas uniquement dans les pays émergents.
Le monde n’est pas en récession mais dans une phase
durable de croissance, certes révisée en baisse pour 2011.
La
situation des entreprises aux Etats-Unis et en Europe montre
des signes encourageants : une génération de cash-flow
historiquement haute, d’une part, et une croissance toujours
élevée des bénéfices nets par actions. Bien entendu, un
certain nombre de problèmes risquent de jouer un rôle de
force de rappel sur les marchés, au premier rang desquels le
problème de la dette souveraine européenne et des finances
publiques des Etats occidentaux.
Concernant la traduction de ces facteurs au sein d’un
portefeuille, certains éléments militent pour une allocation
favorable aux actions qui offrent toujours un rendement
supérieur aux obligations pour un prix (mesuré par les
multiples de valorisations) encore raisonnable. D’autre part, la
classe d’actifs va continuer d’être soutenue par la poursuite de
l’important cycle d’opérations de fusions-acquisitions débuté
en 2010.
Néanmoins, compte tenu de l’impact négatif des
problèmes macro-économiques évoqués plus haut, il est très
probable que les marchés connaissent des variations en dents
de scie, à l’image de ce que nous avons pu observer en 2010.
Si une telle configuration limite le potentiel d’appréciation des
marchés actions, l’ampleur des variations au sein du canal
offre néanmoins de nombreuses opportunités.
L’approcheflexible que nous privilégions dans notre gestion
permet de saisir en partie ces opportunités, comme le montre
la belle performance du [a[fonds]a] flexible EFG Maxima sur l’année
2010. Le [a[fonds]a], éligible au pea, a surperformé son objectif de
gestion et affiche une hausse de +7%, tandis que
l’Eurostoxx50 affiche une baisse de près de 6%. Ce résultat a,
en outre, été obtenu avec une volatilité à peu près deux fois
inférieure à celle de l’indice.
Nous débutons cette année 2011
avec une exposition action de l’ordre de 70%. Nous
conservons notre biais en faveur de l’Europe du Nord au
détriment de l’Europe du Sud. En effet, nous pensons que les
problèmes de dette des Etats Européens pourraient exercer
dans les semaines à venir une force de rappel et offrir des
points d’entrée que nous essayerons d’exploiter. Par ailleurs,
notre gestion de performance absolue a également fait ses
preuves à l’image du [a[fonds]a] EFG Optimum qui progresse de
plus de 4% sur l’année, au-dessus de son objectif de
[a[Eonia]a]+3%, avec une volatilité de 1.8% sur un an.
[a[Bourse]a] Tendance avec cp EFG Asset Management
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