
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
Les banques font appel aux épargnants en lançant des émissions obligataires. Devenir créancier d’une banque peut être tentant, mais cela vaut-il le coup ?

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La mutuelle d’épargne GARANCE propose des offres de bienvenue exceptionnelles pour les nouvelles souscriptions en assurance vie sur Garance Epargne (jusqu’à 2.500€ offerts !), ou en PER via le PER Sérénité ou le plébiscité PER Vivacité (jusqu’à 750€ offerts). Les primes en euros sont soumises à conditions de versements en montant (cumulables sur toute la période des offres), sans imposition de répartition supplémentaire sur des unités de compte. Offres applicables jusqu’au 31 décembre 2025.
Les banques proposent des produits d’épargne courants, comme les [a[livrets épargne]a], [a[PEL]a], [a[compte à terme]a], Livret A, [a[assurance-vie]a]...
Mais il est parfois possible d’y souscrire des obligations, et de devenir ainsi le créancier de votre propre [a[banque]a].
Ainsi, la banque émet un emprunt obligataire en échange d’un remboursement à une échéance donnée et valorisé d’un certain taux de rendement (autour de 4% actuellement), montant qui vous sera versé à échéance régulière, c’est ce qu’on appelle un coupon.
– Obligation LCL, 4% février 2012
– Obligation Crédit Foncier, 4,25%, février 2012
Cette [a[obligation]a] a échéance de 6 ans offre un taux de rémunération de 4.25% brut par coupons annuels.
Une opération qui semble attractive mais l’affaire vaut-elle vraiment le coup ?
Une échéance à moyen terme, un rendement à plus de 4% brut parfois versés par coupons annuels, les [a[obligations]a] bancaires sont à premières vue intéressantes.
Mais n’oublions pas que le taux affiché est brut, à la perception des intérêts vous serez donc redevable des [a[prélèvements sociaux]a] et de l’[a[impôts]a] sur le revenu.
Prenons par exemple, l’[a[obligation]a] du crédit foncier à 4.25% brut. Si vous choisissez le Prélèvement forfaitaire libératoire soit 24% (+13.5% de prélèvement sociaux), le taux de rendement net est au final de 2.65%. Taux auquel il faut enlever l’inflation, évidemment, le rendement réel net d’inflation et de fiscalité du placement est donc bien faible.
De plus, si le projet d’augmentation de taxe annoncé récemment par Nicolas Sarkozy est retenu, l’impôt s’élèvera à 39.50% soit et votre rendement tombera à seulement 2.57%.
Il est donc au dessus de certains placements, notamment le livret A mais moins intéressant que d’autres, comme certaines assurance-vie qui, malgré la chute des taux, affichent des rendements nets plus rémunérateurs. En revanche, les émissions d’[a[obligations]a] de certaines grandes entreprises promettent des taux beaucoup plus généreux, parfois au dessus de 8% mais sont aussi plus risquées.
Le risque est d’ailleurs un facteur très important à prendre en compte.
En effet, si ce style de [a[placement]a] n’a jamais été considéré comme particulièrement périlleux, les conditions économiques actuelles nous poussent à être davantage sur nos gardes.
Trois risques portent sur une obligation :
– Le risque de taux d’intérêt : Le cours de l’obligation varie en fonction des taux d’intérêts. Pour une obligation à taux fixe, le cours de l’obligation baisse si les taux montent et inversement.
– Le risque de liquidité : Pour pouvoir vendre son obligation, encore faut-il trouver un acheteur. Sans acheteur, le vendeur ne peut céder ses titres.
– Le risque de faillite de l’émetteur : dans ce cas, l’investisseur perd tout ou partie de son placement.
C’est pourquoi, afin de limiter les risques de perte de capital, pour un particulier investisseur, il est fortement recommandé d’investir dans une optique de conserver son obligation jusqu’à l’échéance.
– Et la garantie des dépôts ?
Contrairement aux [a[placement]a] de dépôts, les obligations bancaires ne sont pas prises en charge par le Fonds de Garantie des Dépôts Français en cas de faillite de la banque. Les rendements affichés peuvent donc paraître très attractifs mais le défaut de paiement est bien réel comme nous le montre la crise de la dette actuelle qui à vu des décotes importantes d’obligations d’Etat qui faisaient pourtant figure d’obligations sans risque par excellence il y a à peine quelques mois.


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