
Analyse des marchés américains : dollar sur ses plus bas, impacts de la baisse des taux à venir
Analyse des marchés américains, dollar, taux d’intérêt, anticipations.
Bourse : Décidemment la nouvelle économie n’est plus ce qu’elle était ! Après une introduction en bourse décevante, le cours de l’action Facebook s’écroule dès le second jour. Au final, heureusement que les membres du réseau social sont restés à l’écart de l’introduction boursière...
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Qui l’eu crût ? Sans doute que le trombinoscope des temps modernes aura une toute autre vie boursière, mais pour l’instant, il faut bien avouer que le fondateur de Facebook a réalisé un tour de passe-passe magistral aux grands financiers de la planète. Après une introduction en bourse à 38 $ vendredi dernier, le cours de l’action aura pris une douzaine de pourcent avant de dévisser. D’ailleurs, lors de l’introduction en bourse, les systèmes du Nasdaq ont mis une demi-heure avant de donner un prix stable pour cette action, les ordres de ventes étaient trop nombreux ! Un signe noir !
Facebook a été valorisé plus de 100 milliards de dollars, sur la base du prix d’introduction de l’action. Avec une baisse de plus de 10%, la valorisation de l’entreprise aura donc perdu plus de 10 milliards de dollars en une seule journée. Une bagatelle... Les marchés financiers n’ont donc pas plus de bon sens que cela.
Des valorisations de société en dépit du bon sens !
Facebook, via son fondateur génial, est d’ailleurs un artisan du non sens financier. En effet, la société a récemment racheté pour un milliard de dollars une société comptant 13 collaborateurs, travaillant dans le domaine du traitement de l’image en mode "réseau social". La décision a été prise en 48 heures, preuve du manque de réflexion d’une telle décision.
Alors que Facebook est talonné aux USA par de multiples réseaux concurrents, son ascension perdure, en termes de membres connectés uniquement, via l’ouverture de nouveaux pays.
Car du point de vue du modèle économique, les grands annonceurs ont fait le tour du périmètre de Facebook, et force est de constater qu’aucun retour sur investissement n’est mesurable, au contraire. Facebook devient pour les marques une fantastique source de dépenses. En effet les grandes marques devant occuper l’espace, soigner leur image, modérer les avis des membres mécontents, animer leur communauté, bref, autant d’énergie à dépenser, avec bien peu de revenus à mettre en face. Et c’est bien là le piège, les marques se doivent d’être présentes sur le trombinoscope, mais ne peuvent espérer le moindre retour.
C’est bien là que la faille pointe le bout de son nez, car de grands annonceurs se sont déjà retirés de ce réseau, dont les membres, si actifs soient-ils ne sont pas en mode "achat" mais en mode "loisir pur". Il s’agit ni plus ni moins d’une navigation perte de temps, un outil chronophage sans but.
D’ailleurs, pour preuve, les jeux sur Facebook font un tabac, mais pas n’importe quel jeu ! Des jeux chronophages à épisodes, simples, sans véritable fin, afin que les joueurs passent une bonne partie de leur loisir sur ce média. La valorisation de Facebook tient-elle vraiment compte du manque d’intérêt des utilisateurs pour l’outil en lui-même ? Probablement pas, la vision des stratèges de la finance est que cette génération Y, née avec un usage sans modération du Web, est au final captive de ces outils. Elle devient donc valorisable, en oubliant sans doute, que la moyenne d’age des membres du réseau social Facebook doit être bien plus proche des 12 ou 13 ans que des 25 à 30 ans...
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