Finance : Après la dette, les matières premières sont les suivantes....

Michel Portier, directeur de la société Agritel, expliquait dans un communiqué lundi 8 août 2011, comment la crise de la dette allait entraîner la chute des cours des matières premières. Explications...

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Les cours des matières premières déjà en péril...

Dans un communiqué adressé le 8 août 2011, Michel Portier, spécialiste de la gestion des risques de prix et directeur de la société Agritel, expliquait comment la crise de la dette, qui défraye la chronique depuis plusieurs semaines, allait emporter dans sa chute les matières premières.

"La dégradation de la note souveraine de la dette américaine ébranle les marchés financiers, entrainant très vite dans leur sillage les marchés des matières premières agricoles.", expliquait ainsi le directeur d’Agritel.

En effet, si l’or n’en finit plus de battre des records historiques, allant jusqu’à dépasser les 1750$ l’once sur certaines places boursières internationales, le reste des matières premières semble bien affecté par le pessimisme des marchés financiers actuels.

Ainsi, avec un baril de "light sweet crude" repassant en dessous de la barre symbolique des 80$ le baril, ou la diminution de 3,5% des cours du colza lundi 8 août, les matières premières risquent gros dans les jours à venir.

Pourtant, ces matières de première nécessité ont historiquement une élasticité faible en raison de leur demande incompressible (pour se nourrir se chauffer etc...). Comment alors expliquer cette tendance ?

Le problème de la sur-information ?

"Les marchés sur-réagissent aux indicateurs économiques.
Preuve est faite une nouvelle fois que la transparence des marchés ou que l’accentuation des flux d’informations sont source de volatilité, et non le contraire !"
, indique Michel Portier, exprimant ainsi l’idée que la multiplication de l’information si souvent louée par les observateurs joue maintenant un rôle inverse en accentuant les inquiétudes des investisseurs.

Pire, c’est surtout le traitement de l’information qui est aujourd’hui un réel problème comme le montre le désastre alimentaire en Somalie pourtant prévisible depuis plusieurs mois et que les dirigeants du monde entier ont
laissé se dérouler sans prendre les mesures nécessaires.

Aujourd’hui, une baisse substantielle des cours des matières premières serait un véritable désastre pour beaucoup de pays basant leurs exportations sur ce type de produits et pourrait encore accentuer la spirale négative qui sévit sur la finance internationale depuis maintenant plusieurs semaines.

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