
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
Acquise en 2016 par le groupe BPCE, Fidor, néobanque à vocation communautaire, était un galop d’essai avant de lancer la version française dans l’hexagone. Devant les résultats décevants de Fidor en Allemagne, le groupe BPCE devrait mettre un terme à l’aventure, enfin, lancer une réflexion stratégique, pour reprendre l’expression consacrée.

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Créée en 2009, Fidor est une des premières Fintech en Europe. En faisant participer
plus d’un demi-million d’utilisateurs avec un esprit communautaire pour mieux gérer son argent, la néobanque peine à séduire commercialement, le but ultime étant soit de faire ouvrir des comptes bancaires ou soit de faire souscrire des placements financiers auprès de ses partenaires référencés sur la marketplace de la plateforme. Rien de bien nouveau en termes de concept.
Déjà trop de néobanques présentes sur le marché français. Avec 230.000 clients en Allemagne, Fidor ne donne pas assez de résultats pour être un modèle exportable en France, en l’état. Ainsi, sont rapportés les propos de Laurent Mignon, Président du groupe BPCE, dans les colonnes des Echos, « On ne lancera pas Fidor en France. Je crois plus à ce qu’on fait en lançant une offre mobile comme Enjoy qu’en lançant une nième néobanque. Il y en a déjà assez ».
Acquise pour près de 150 millions d’euros, la néobanque n’a jamais été intégrée dans l’univers des Caisses d’Epargne et des Banques Populaires. Après une augmentation de capital de 89 millions d’euros en 2017, il faudrait encore quelques centaines de millions d’euros pour porter la plateforme au niveau européen. Or, les résultats obtenus en Allemagne sont mitigés, pays de l’épargne et de l’argent par excellence.
Pour BPCE, Fidor garde toutefois des atouts clefs pour monter en puissance sur le marché des particuliers : « ce qui m’intéresse fondamentalement c’est l’activité BtoC de Fidor. Je suis en train de travailler avec les équipes pour déterminer comment intégrer Fidor dans notre stratégie », a expliqué Laurent Mignon aux « Echos » en début de semaine. De sources internes, un projet exploratoire d’investissement dans les activités de banque de détail de Fidor a ainsi été présenté il y a plusieurs semaines. Il impliquerait près de 300 millions d’euros d’investissement pour développer des services de banque de détail dans plusieurs pays européens au cours des cinq prochaines années. « C’est un pari, mais s’il réussit il permettrait de valoriser malgré tout cet investissement », estime une source.


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