
Eclatement de la bulle IA : Goldman Sachs et Morgan Stanley convaincus
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Comme attendu, les valeurs du luxe commencent à dévisser, rien de bien méchant pour le moment. Le CAC40 plonge de plus de 5 % et la baisse pourrait perdurer.

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Le mois de mai se termine, sans surprise, dans le rouge vif pour le CAC40. Le secteur du luxe, dont les valorisations en forme de bulle (PER (Price Earning Ratio) supérieur à 50 !) pouvaient commencer à faire sourire, subit des dégagements logiques. Les mauvais indicateurs avancés (PMI) ont poussé les investisseurs à réduire leurs positions sur les autres secteurs. Désormais, la correction semble saine, après il faut bien l’avouer, un rallye sur les semaines dernières pour le moins surprenant. D’autant qu’en Asie, le COVID se rappelle de nouveau à la mémoire de tous.
Si l’inflation est en baisse, cela ne veut évidemment pas dire que les prix baissent. Loin de là. Toutefois, ces premiers signes de baisse des prix alimentaires, ajoutés à ceux de l’énergie, sont encourageants. Les médias s’emballent un peu rapidement sur cette embellie, mais ne soyons pas avare en positivisme. Toutefois, les investisseurs ne s’attendaient pas à une situation différente de celle-ci. Rien ne change donc sur le point de l’inflation.
Pourquoi s’intéresser à l’immobilier pour la bourse ? Toutes les crises boursières ont été précédées d’un vacillement du marché immobilier. Cette fois-ci, la crise immobilière, attendue durant plus de deux décennies en France, a toutes les chances de se matérialiser. Non seulement le secteur de la construction est en berne (nouvelle baisse des permis de construire, chute des mises en chantier), mais les faillites des professionnels du secteur en forte hausse commencent à inquiéter. Les promoteurs n’arrivent plus à vendre leurs biens neufs.
La chute de l’ordre de 25 % en 2022 pourrait bien encore grimper en 2023. Du côté de l’ancien, c’est désormais officiel, le marché se retourne. Même les indicateurs les plus retardés (ceux des notaires / INSEE) indiquent désormais le début de la baisse des prix. Ce retard, estimé entre 3 et 6 mois, cache une baisse bien plus marquée dans les transactions effectuées actuellement.
La hausse des taux des crédits immobiliers n’est pas terminé, et le nombre de foyers pouvant emprunter à de tels niveaux de taux se réduit de mois en mois.
La baisse des marchés actions devrait logiquement s’accroître. Avec le ralentissement de la hausse des taux, la baisse des prix des obligations à taux fixe sera moindre, laissant la place à de nombreuses stratégies. Les investisseurs pourront ainsi arbitrer des actions vers les obligations avec une prise de risque plus faible. Les rendements des obligations étant plus élevés que la moyenne des dividendes des marchés actions, l’arbitrage pourrait être rapide.
Maintenant que la grande majorité des dividendes sont versés au sein du CAC40, place aux charts. Pour les amateurs de dessins de courbes et autres statistiques comportementales, le support suivant pour le CAC40 ce sera 6900 points. Un rebond sur ce support est attendu, le tout étant de savoir s’il sera durable... Ou pas.


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