
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
Hier, la banque nationale suisse a annoncé la fixation d’un taux plancher du franc suisse à 1,20 pour un euro. Cette dévaluation fait grand bruit sur les marchés mais sera difficile à tenir pour la banque helvétique. Détails...

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Mardi 6 Septembre, la [a[Banque]a] Nationale Suisse (BNS) a fixé un taux plancher de 1,20 franc pour 1 euro, afin de contrecarrer la "surévaluation extrême" de la monnaie qui était préjudiciable à l’économie helvétique.
Cette annonce a eu des effets immédiats puisque la pression sur le franc Suisse c’est relâchée alors que la [a[Bourse]a] Suisse gagnait 5%.
L’envolée du Franc Suisse ces dernières semaines s’explique par le rôle de valeur refuge, au même titre que l’or, qu’exerce cette monnaie dans les échanges internationaux, alors que la conjoncture économique est plus qu’instable en ce moment, notamment sur les marchés financiers. C’est face à cette situation que la BNS a décidé de fixer un taux plancher pour la parité du franc suisse.
Philip Hildebrand, président de la Banque Nationale Suisse (BNS) a justifié cette décision en expliquant que la montée du franc suisse ces dernières semaines était "une grave menace pour l’économie suisse et recèle le risque de développement déflationnistes".
C’est avant tout la compétitivité des exportations suisses que désire protéger la BNS, et optera donc pour une politique très active de rachat de devises sur le marché "en quantité illimitée".
"Nous devons accepter le fait que les coûts associés à ceci puissent être très élevés (...) Mais ne rien faire infligerait presque sans aucun doute à notre économie des dégâts considérables sur le long terme. Avec la mesure prise aujourd’hui, la [a[Banque]a] nationale suisse agit dans l’intérêt du pays tout entier", indique le président de la BNS.
Cependant, il sera difficile pour la BNS de tenir cet engagement si la situation internationale actuelle se poursuit et que la morosité des marchés financiers perdure.
Déjà, en 1978, la BNS avait entrepris une initiative semblable sur la parité franc suisse / Deutsche Mark avec des résultats plus que mitigés, arrivera t’elle cette fois à tenir face aux spéculateurs ?
Dans tous les cas, cette "dévaluation", est une véritable aubaine pour de nombreuses communes françaises (Saint-Tropez, Argenteuil, Saint-Etienne...) qui étaient prises à la gorge par l’envolée du franc suisse en raison d’emprunts indexés sur la parité franc suisse/euro. Ces emprunts contractés dans les années 2000 et très alléchants 4% à l’origine avait atteint des taux pouvant aller de 15 à 20% soit "entre 12 et 20 Mds€ d’encours de prêts toxiques" d’après une source proche de l’affaire.
Ces emprunts avaient d’ailleurs été interdit en France l’an dernier et des actions en justice avait déjà commencé.
Nul doute que l’annonce de Mr Hildebrand les aura quelque peu soulagées !


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