
Bitcoin : les ventes à découvert (short) en forte hausse depuis le début du crash des cryptos
Alors que la plupart des spéculateurs ont encore des positions de long terme sur le bitcoin, les ventes à découvert sur la reine des cryptos (...)
Les petits porteurs auront-ils gain de cause ? BPCE a subit un premier échec, le groupe a été contraint de prolonger la durée de son OPA sur les actions NATIXIS jusqu’au 9 juillet 2021. Toutefois les espoirs de faire capoter l’OPA restent plus que minces, proches du zéro absolu.

Publié le par
La mutuelle d’épargne GARANCE propose des offres de bienvenue exceptionnelles pour les nouvelles souscriptions en assurance vie sur Garance Epargne (jusqu’à 2.500€ offerts !), ou en PER via le PER Sérénité ou le plébiscité PER Vivacité (jusqu’à 750€ offerts). Les primes en euros sont soumises à conditions de versements en montant (cumulables sur toute la période des offres), sans imposition de répartition supplémentaire sur des unités de compte. Offres applicables jusqu’au 31 décembre 2025.
Cette offre simplifiée d’achat de la BPCE portant sur les actions NATIXIS, au prix dérisoire de 4 euros par action, a révolté nombre de petits porteurs. Mal conseillés par leurs banquiers, nombre d’entre eux ont apporté leurs titres sans connaître les avantages de ne pas participer à cette OPA. Ils paieront de fait des frais de transactions, alors que les épargnants n’apportant pas leurs titres, en cas de succès de l’OPA, n’en paieront pas. Le seuil de détention par BPCE de 85% du capital de NATIXIS franchi, le déférencement de NATIXIS des fonds indiciels devrait être fatal, l’OPA devrait réussir. Les fonds indiciels ne pouvant maintenir dans leurs sélection des titres dont le flottant est trop faible (risque de liquidité portant sur la cotation des indices). Les annonces de déférencement d’indices de NATIXIS n’en finissent plus depuis le 1er juillet.
Le 1er juillet, BPCE détient à la clôture du marché une participation de 86,66% au capital de Natixis. Moins que les 90% visés pour lancer l’offre de retrait obligatoire. Toutefois, BPCE annonce prolonger son offre publique d’achat simplifiée sur les actions Natixis pour six séances, soit jusqu’au 9 juillet inclus, pour permettre notamment à des fonds indiciels de prendre leur décision en tenant compte de son niveau de détention atteint à ce jour. Une prolongation validée par l’AMF. "Une part du capital de Natixis (et donc du flottant résiduel) est détenue par des fonds indiciels qui n’ont pas été en mesure de décider l’apport à l’offre tant que BPCE n’avait pas franchi le seuil de détention de 85%".
Natixis a indiqué que MSCI avait publié le 2 juillet un communiqué sur sa décision d’exclure la banque des indices de la famille MSCI effective au 7 juillet 2021. Cette décision a été prise au regard de la détention de BPCE qui, au 1er juillet 2021, était supérieure à 85% du capital de Natixis réduisant ainsi de manière significative son flottant.
Que ce soit pour l’OPA ou pour l’OPR le prix sera de 4 euros l’action. Aucun intérêt pour l’actionnaire d’apporter ses titres à l’OPA maintenant. Au contraire, en apportant ses titres durant l’OPA, des frais de transactions seront facturés. En cas d’OPR (Offre publique de retrait obligatoire), aucuns frais ne peuvent être facturés. Le cours de 4 euros par action NATIXIS sera proposé.


Alors que la plupart des spéculateurs ont encore des positions de long terme sur le bitcoin, les ventes à découvert sur la reine des cryptos (...)

Plum suit la tendance, pour ne pas dire la mode, et propose désormais les 19 ETF les plus populaires : de l’IA au gaming, en passant par la (...)

La baisse du cours du bitcoin en dollars n’a rien de réellement inquiétante pour le moment. La zone des 90.000$ étant encore une zone d’achat (...)

Trade Republic annonce ce jour une nouvelle brique de son offre crypto : le Crypto Wallet.

NamR (FR0014003J32) annonce l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire, le 12 novembre 2025 avec période d’observation de six mois.

Le moment est opportun pour les grandes sociétés américaines de lancer des émissions obligataires, les conditions de marché sont idéales. La (...)