
Analyse des marchés américains : dollar sur ses plus bas, impacts de la baisse des taux à venir
Analyse des marchés américains, dollar, taux d’intérêt, anticipations.
La Bourse de Paris a fini en net recul mercredi (-1,88%), lors de troisième séance de baisse d’affilée, à nouveau lestée par ses appréhensions face aux répercussions concrètes du Brexit sur l’économie européenne.
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L’indice CAC 40 a perdu 78,12 points à 4.085,30 points, dans un volume d’échanges moyen de 3,9 milliards d’euros. La veille, il avait terminé en nette baisse de 1,69%.
La cote parisienne a ouvert en baisse et s’est enfoncée de plus en plus au fil de la journée, les premières concrétisations du vote britannique en faveur de la sortie de l’Union Européenne rendant les investisseurs de plus en plus prudents.
"Les marchés ont trop rapidement et trop fortement récupéré", après leur chute juste dans la foulée des résultats du référendum britannique, il est donc "logique" qu’ils trébuchent de nouveau face à cette "inconnue majeure", a estimé Michaël Jacoby, responsable du courtage Europe continentale d’Oddo Securities.
Car "les investisseurs sont dans une période absolument opaque. C’est d’ailleurs un cas d’école pour les opérateurs économiques qui ne savent pas à quoi s’en tenir face à ce vote britannique" et "cette absence de visibilité rend les choses très compliquéespour les marchés actions", a-t-il complété.
"Et sur le plan politique, il y a encore beaucoup de vents contraires à l’horizon", ce qui renforce l’aversion pour le risque et alimente "un courant clairement vendeur", a-t-il ajouté.
La suspension brutale de leur activité par deux nouveaux fonds immobiliers britanniques, face à l’afflux des demandes de retraits, portant leur total à cinq depuis lundi, a inquiété tout particulièrement les investisseurs.
D’autant que la Banque d’Angleterre a, elle aussi, averti mardi que des risques pour la stabilité financière avaient "commencé à se manifester" depuis la victoire du Brexit et a du coup décidé d’alléger les contraintes en termes de capital imposées aux banques afin de les inciter à prêter pour soutenir l’économie britannique.
La cote parisienne a aussi souffert des déboires toujours prégnants des banques italiennes.
Du côté des valeurs, le secteur bancaire a donc été encore pénalisé, à l’image de Société Générale , Crédit Agricole (-2,15% à 7,10 euros) et BNP Paribas (-1,94% à 38,36 euros).
Le secteur automobile estresté aussi mal en point avec Peugeot (-1,46% à 10,47 euros) et Renault (-1,79% à 65,36 euros), qui a pâti par ailleurs d’un abaissement de recommandation de Barclays à "neutre" contre "surpondérer" auparavant.
Air Liquide a reculé de 4,17% à 89,60 euros. Le géant des gaz industriels a annoncé lors d’une journée investisseurs miser sur un taux de croissance annuel moyen de son chiffre d’affaires de 6 à 8% sur la période 2016-2020.
abx/cb/az
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