
Valeo : nouvelle offre de souscription d’actions réservée aux salariés du Groupe
Valeo renouvelle son offre de souscription d’actions réservée aux salariés du Groupe.
La Bourse de Paris décrochait jeudi matin (-3,59%), dans le sillage des autres places européennes, plombée par le secteur bancaire et pétrolier, sur fond d’inquiétudes pour l’économie mondiale.
Publié le par à 0 h 0
Le fonds en euros EURO+ proposé par Swiss Life a publié une performance annualisée de + 3.60 % en 2024, sans bonus de rendement ni autre artifice marketing. Accessible via le contrat d’assurance-vie monosupport Placement-direct EURO+. Sans frais sur les versements, seulement 0.60% de frais de gestion, ce contrat EURO+ peut être considéré comme étant un des meilleurs plans épargne sans risque.
A 10H39 , l’indice CAC 40 perdait 145,84 points à 3.915,36 points, après avoir brièvement lâchéplus de 4%. La veille, il avait terminé en hausse de 1,59%.
"Les marchés sont dans une spirale dangereuse d’auto-dégradation via toute une série de relations inter-marchés négatives", relèvent les analystes du courtier Aurel BGC, précisant qu’"il n’est pas impossible que cette fébrilité des marchés contamine l’économie réelle".
Selon eux, "à court terme, la reprise de la baisse du pétrole reste un frein certain, tout comme le rebond de l’euro, qui revient à proximité de 1,13 dollar ce matin".
Les cours du pétrole repartaient à la baisse, le "light sweet crude" (WTI) passant même sous les 27 dollars jeudi matin en Asie.
Si le département de l’Energie (DoE) des Etats-Unis a annoncé mercredi une baisse inattendue des réserves américaines de brut la semaine précédente, les investisseurs considèrent toutefois qu’elles demeurent à un niveau bien trop élevé.
La place parisienne s’était pourtant reprise mercredi (+1,59% à la clôture) marquant une pause dans le pessimisme, après un début de semaine difficile en raison des craintes sur le secteur bancaire et la santé de l’économie mondiale.
"Nous considérons toujours que les rebonds ne méritent pas d’être joués dans l’immédiat", souligne Aurel BGC.
Selon le courtier, "les marchés conservent de nombreuses poches de fragilité, ainsi qu’un potentiel certain de dégradation brutale de la situation".
Dans ce contexte de nervosité, l’audition de la présidente de la Réserve fédérale américaine, Janet Yellen, se poursuivra devant la Commission des affaires bancaires du Sénat.
Mais il n’y a "rien de nouveau à attendre à ce niveau", estime Christopher Dembik, économiste chez Saxo Banque, selonqui "tout a été dit hier".
La veille, Mme Yellen a prévu une croissance modérée et une hausse graduelle des taux d’intérêt aux Etats-Unis, tout en se montrant inquiète de l’impact du ralentissement de l’économie mondiale.
Parmi les valeurs, Société Générale décrochait de 12,72% à 27,42 euros souffrant fortement de la non confirmation de son objectif de rentabilité sur fonds propres à fin 2016. Plusieurs titres du secteur bancaire étaient à la traîne, Crédit Agricole lâchant 5,51% à 7,76 euros et BNP Paris 5,42% à 37,60 euros.
Faurecia chutait de 7,75% à 27,51 euros, alors que le groupe reste prudent sur ses perspectives pour l’année 2016, malgré un doublement de son bénéfice net en 2015.
Legrand cédait 5,34% à 43,57 euros, pénalisé pour sa prudence pour 2016, après avoir bien résisté en 2015.
Pernod Ricard reculait de 4,71% à 94,89 euros, malgré un bénéfice net en hausse au premier semestre de son exercice décalé 2015/16 et une confirmation de son objectif annuel.
Publicis décollait de 7,19% à 56,51 euros, porté par des résultats 2015 en forte hausse et supérieurs aux attentes.
Korian dévissait de 16,12% à 24,20 euros, affecté par la baisse de la rentabilité du groupe en 2015.
Rexel perdait 8,11% à 9,03 euros, plombé par un bénéfice net en chute de 92,1% en 2015, lié notamment à des dépréciations et des coûts financiers exceptionnels.
Edenred chutait de 12,45% à 13,58 euros, après avoir annoncé un bénéfice net de 177 millions d’euros pour 2015, en hausse de 7,7% par rapport à 2014, mais en dessous des attentes du marché.
Natixis prenait 6,97% à 4,39 euros, conforté par un bénéfice net en hausse marquée de 18% en 2015 à 1,34 milliard d’euros.
Total lâchait 3,05% à 35,41 euros, pénalisé par une forte baisse de ses résultats en 2015, mais moins qu’anticipé par les analystes grâce à une production d’hydrocarbures en hausse, à un raffinage-chimie performant et au déploiement d’une cure d’austérité qu’il va encore intensifier pour amortir les effets du plongeon du pétrole.
Plus globalement, le secteur des matières première était mal orienté. CGG perdait 6,38% à 0,44 euro, ArcelorMittal 7,00% à 2,62 euros et Technip 4,09% à 37,88 euros.
as/cb/cj
Valeo renouvelle son offre de souscription d’actions réservée aux salariés du Groupe.
Analyse des marchés américains, dollar, taux d’intérêt, anticipations.
Mauna Kea Technologies dévoile les contours de son plan de sauvegarde pour assurer son redressement.
Comme largement attendu, le taux d’intérêt directeur principal de la BCE a été maintenu à 2 %.
Les ETF actifs sont en vogue outre-Atlantique. En Europe, les ETF actifs sont encore sous observation. BNP Paribas entend bien ne pas rater le (...)
Saxo Banque, expert du trading et de l’investissement multi-actifs en bourse, ouvre son expertise aux professionnels de la gestion en France.