
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
La Bourse de Paris a fini en recul jeudi (-1,33%) au lendemain d’une réunion de la Fed, déprimée par un secteur bancaire mal orienté, dans le sillage de la place milanaise.

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L’indice CAC 40 a perdu 58,20 points à 4.322,16 points, dans un volume d’échanges nourri de 4,2 milliards d’euros. La veille, il avait gagné 1,05%.
La place parisienne avait ouvert en baisse avant de remonter légèrement la pente. Mais elle ne parvenait pas à garder le cap, imitant en fin de séance la Bourse de Milan, qui chutait sous le poids des banques.
"C’est le secteur bancaire italien qui est l’objet des inquiétudes des investisseurs" sur le marché parisien, analyse Frédéric Rozier, conseiller de gestion chez Meeschaert Gestion Privée.
M. Rozier observe "un effet contagion sur l’ensemble du secteur", touchant des banques en bonne santé, "largement capitalisées", selon lui, dans un contexte marqué par "un problème structurel du système bancaire italien, un secteur éclaté, qui a besoin de se concentrer".
La Bourse de Milan a terminé en forte chute sous le poids du secteur bancaire dont certains titres ont souffert à l’image de Banco Popolare di Milano ou encore la banque BMPS (Monte dei Paschi di Siena).
Cette baisse se déroulait au surlendemain de la signature d’un accord entre Rome et la Commission européenne au sujet de la gestion des créances douteuses des banques italiennes qui les fragilisent et freinent la reprise en Italie.
Dans cette atmosphère empreinte de nervosité, "le point positif reste le soutien apporté par la stabilisation des cours du pétrole", relève M. Rozier.
Les prix de l’or noir remontaient, aidés par des espoirs d’accord entre la Russie et l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) pour réduire la production et rééquilibrer le marché.
Enfin, le marché ne semblait pas préoccupé par la réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed) la veille jugée peu convaincante.
Lors de sa réunion achevée mercredi après la clôture européenne, la Fed a laissé ses taux d’intérêtinchangés six semaines après avoir acté une première hausse, en notant que la croissance économique des Etats-Unis avait ralenti à la fin de l’année dernière, que l’inflation resterait "basse" à court terme et qu’il fallait surveiller "les développements financiers et économiques" dans le monde.
Sur le terrain des indicateurs, la hausse des prix à la consommation en Allemagne a accéléré en janvier avec une inflation de 0,5% sur un an, selon un chiffre provisoire.
Aux Etats-Unis, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont baissé plus que prévu alors queles commandes de biens durables ont chuté fortement en décembre.
Parmi les valeurs, les titres du secteur bancaire ont tiré la place parisienne vers le bas, à l’image de Société Générale (-3,27% à 34,21 euros), BNP Paribas (-2,93% à 42,86 euros) ou encore Crédit Agricole (-2,74% à 8,93 euros).
EDF a pris 1,23% à 11,89 euros et Areva a bondi de 31,23% à 5,00 euros. Le marché saluait l’annonce d’une recapitalisation massive de 5 milliards d’euros d’Areva et l’accord avec EDF sur la cession de sa branche réacteurs.
Les valeurs pétrolières ont profité quant à elles de l’accalmie des cours du baril. Technip a gagné 6,15% à 43,23 euros et CGG 6,67% à 0,80 euros.
Altran a perdu 3,83% à 11,30 euros. La société a publié un chiffre d’affaires sans surprise, en hausse de 10,7% malgré des problèmes de management en Allemagne qui ont plombé les résultats dans la région Europe du Nord.
PSA Peugeot Citroën a baissé de 2,37% à 13,80 euros après avoir officialisé son retour très attendu en Iran, avec une co-entreprise qui pourra investir jusqu’à 400 millions d’euros sur cinq ans.
as/fpo/aro


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