
Profil-type de l’investisseur particulier en bourse
L’AMF a publié une mise à jour en juillet 2025 de son analyse du comportement des investisseurs en bourse : les femmes sont, en proportion, de (...)
La Bourse de Paris a fini la semaine déstabilisée par l’incertitude ambiante sur les marchés et dans un état de fébrilité aggravé à la clôture (-1,11%) par des propos de Donald Trump.
Publié le par à 0 h 0
Le fonds en euros EURO+ proposé par Swiss Life a publié une performance annualisée de + 3.60 % en 2024, sans bonus de rendement ni autre artifice marketing. Accessible via le contrat d’assurance-vie monosupport Placement-direct EURO+. Sans frais sur les versements, seulement 0.60% de frais de gestion, ce contrat EURO+ peut être considéré comme étant un des meilleurs plans épargne sans risque.
L’indice CAC 40 a perdu 60,04 points pour terminer à 5.327,92 points, dans un volume d’échanges de 2,89 milliards d’euros. La veille,il avait clôturé sur un gain de 2,31%.
Au cours de la semaine écoulée, l’indice a perdu 0,58%. Mais il continue d’afficher une hausse de 12,62% depuis le 1er janvier.
La cote parisienne a ouvert en recul et a creusé son repli en fin de séance après de nouvelles déclarations du président américain.
Donald Trump a averti que les Etats-Unis n’étaient "pas prêts" à conclure un accord commerciale avec la Chine, évoquant même une possible annulation du round de discussions prévues en septembre à Washington.
La tournure que prend le différendcommercial entre la Chine et les Etats-Unis "devient inquiétante", reconnaît Thierry Claudé, gérant pour Kiplink Finances, interrogé par l’AFP. Cependant, somme toute, les investisseurs "s’habituent aux annonces intempestives de M. Trump et ils ne croient pas qu’il y ait une rupture des négociations".
Le différend traîne "car il y a beaucoup d’intérêts en jeu" et "chacune des parties a intérêt à ce qu’un accord soit trouvé" insiste-t-il, un avis partagé par la plupart des acteurs de marché.
Les tensions sino-américaines sont montées d’un cran après l’annonce, la semaine dernière, par M. Trump de tarifs douaniers supplémentaires sur les importations chinoises à compter de septembre.
Et les fraîches déclarations du président américain officialisent un peu plus l’impasse dans laquelle se trouvent les négociations entre les deux payspour mettre fin à la guerre commerciale.
"Le grosse baisse de vendredi et lundi a aussi pesé sur le moral, même si le marché s’est bien repris jeudi, peut-être même trop vite" en l’absence de mauvaises nouvelles et grâce à la stabilisation de la monnaie chinoise, souligne M. Claudé.
Donald Trump a affirmé de son côté vendredi qu’il ne dévaluerait pas le dollar, malgré le handicap que représente l’appréciation du billet vert par rapport à d’autres devises pour les exportations américaines.
Par ailleurs, les investisseurs sont également préoccupés par l’éclatement de la coalition populiste italienne au pouvoir depuis 14 mois qui plonge la troisième économie de la zone euro dans l’incertitude.
Ils ont également eu des mauvaises nouvelles confirmant le ralentissement de la production industrielle : après le recul allemand plus fort qu’attendu publié mercredi, la production industrielle en France a aussi connu un net reflux au mois de juin.
– ArcelorMittal laminé -
Les valeurs cycliques industrielles ont souffert, et en premier lieu les minières, qui auraient beaucoup à perdre d’un affaiblissement dela Chine, principale importatrice au monde de métaux. ArcelorMittal a ainsi chuté de 7,26% à 12,04 euros, suivi d’Aperam et d’Eramet (-1,49% à 40,24 euros).
Le secteur bancaire a continué de pâtir de la nouvelle détente des taux d’emprunt sur le marché obligataire. Crédit Agricole a perdu 1,50% à 10,18 euros, BNP Paribas 1,33% à 40,21 euros et Société Générale 2,15% à 22,28 euros.
pan/jug/az
L’AMF a publié une mise à jour en juillet 2025 de son analyse du comportement des investisseurs en bourse : les femmes sont, en proportion, de (...)
Après une vague de faiblesse en avril 2025, trop rapidement corrigée depuis, les marchés actions devraient rester sous tension jusqu’en 2026. Détails.
Parmi les principaux actifs financiers, le MSCI World ne tire pas son épingle du jeu en ce premier semestre 2025.
La prise en compte du cours de l’action Nissan dans les comptes de Renault va faire apparaître 9,5 milliards euros de pertes latentes.
Auris Gestion annonce le lancement du fonds actions European Shield Fund investissant majoritairement dans les secteurs de la Base Industrielle (...)
SG est la première banque au monde à proposer des stablecoins en euros et en dollars