
Des corrections probables à venir sur les marchés actions
Après une vague de faiblesse en avril 2025, trop rapidement corrigée depuis, les marchés actions devraient rester sous tension jusqu’en 2026. Détails.
La Bourse de Paris a terminé presque stable lundi (+0,04%), ayant le plus grand mal à se ressaisir après quatre jours de baisse, freinée par les incertitudes entourant le Brexit et la politique monétaire américaine.
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L’indice CAC 40 a pris 1,60 point à 4.423,38 points, dans un volume d’échanges très faible de 2,1 milliards d’euros. Vendredi, il avait lâché 0,99%.
Le marché parisien a limité toute prise de risque tout au long de la séance, même s’il s’est installé un temps dans le vert dans l’après-midi, dans la foulée d’une ouverture en hausse de Wall Street.
"La politiquemonétaire de la Fed et le Brexit sont les deux principales incertitudes pour les marchés, ce qui justifie un comportement prudent", souligne à l’AFP Frédéric Rozier, conseiller de gestion chez Meeschaert Gestion Privée.
En particulier, le référendum sur le Brexit, prévu le 23 juin, "est dans l’esprit de tous les investisseurs et les poussent à être peu présents sur le marché", signale-t-il.
Dans une journée pauvre en statistiques, la prudence a pu être entretenue par le fait que les partisans d’une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne sont en tête des sondages.
Le doute est "de plus en plus présent dans l’Union européenne , à moins de trois semaines du référendum britannique", selon John Plassard, chez Mirabaud Securities.
Les marchés ont néanmoins tenté de relever la tête après avoir accusé le coup à la veille du week-end dans la foulée de mauvais chiffres sur l’emploi américain.
Ces derniers ont ravivé les craintes quant à un accès de faiblesse de la première économie mondiale, au moment où la Réserve fédérale américaine (Fed), qui se réunit la semaine prochaine, semble décidée à relever ses taux dans les mois qui viennent.
C’est la raison pour laquelle le marché sera très attentif au discours que doit prononcer Janet Yellen après la clôture européenne.
Parmi les valeurs, le secteur pétrolier et des matières premières a été recherché, avecla hausse des cours du baril. Technip a pris 2,72% à 49,25 euros, Total 1,87% à 42,47 euros, Vallourec 2,74% à 3,26 euros et ArcelorMittal 2,96% à 4,72 euros.
Kering a gagné 2,23% à 151,35 euros après des nouvelles encourageantes sur Gucci, fleuron du groupe de luxe.
AirFrance-KLM a reculé (-5,42% à 6,84 euros), alors que Barclays a abaissé son objectif de cours sur la valeur. Par ailleurs, le SNPNC-FO et l’Unsa-PNC appellent les hôtesses et stewards d’Air France à une grève du 27 juillet au 2 août inclus, pour peser sur les négociations en cours concernantleurs rémunérations et règles de travail.
La Compagnie des Alpes a bondi (+6,02% à 17,27 euros) après avoir reçu "des marques d’intérêt" d’investisseurs pour entrer à son capital, mais affirme, dans un communiqué, qu’"à ce jour, aucune décision n’a été prise".
jbo/fka/cj
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