
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
La Bourse de Parisévoluait en baisse vendredi (-0,51%), fragilisée par les risques géopolitiques qui ont une nouvelle fois plombé les marchés la veille.

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A 09H18 , l’indice CAC 40 perdait 21,34 points à 4.128,49 points. La veille, il avait lâché 1,36%.
Le marché parisien poursuivait son mouvement de recul et s’approchait de son plus bas annuel en séance (4.080,60 points) qui date du 4 février.
"Les risques géopolitiques restent la première préoccupation du marché et il n’y a aucun signe de désescalade", comme le montre l’embargo russe sur les produits alimentaires occidentaux, soulignent les économistes chez Crédit Agricole CIB.
Les tensions internationales inquiètent au plus haut point les investisseurs, qui redoutent les conséquences qu’elles peuvent avoir sur les prix des matières premières et la croissance mondiale.
"Laprincipale crainte est un risque de +guerre commerciale+ entre l’Europe et la Russie", note le courtier Aurel BGC, pour qui "le risque sur la croissance européenne et le commerce mondial augmente".
Outre la réponse russe aux sanctions de l’Europe et des États-Unis, la crise ukrainienneconnait une nouvelle poussée de fièvre après des combats meurtriers ayant gagné pour la première fois le centre de Donetsk, le principal fief séparatiste.
En parallèle, à Gaza, le mouvement islamiste Hamas a annoncé qu’il ne prolongera pas le cessez-le-feu en vigueur depuis troisjours, alors que dans le dossier irakien le président des États-Unis Barack Obama a autorisé, si nécessaire, des frappes aériennes ciblées contre les jihadistes.
"Nous ne verrons probablement pas d’amélioration de la situation sur le marché avant le week-end", renchérit Crédit Agricole CIB.
Le marché surveillera d’autant plus la situation internationale que la séance est dépourvue de tout indicateur majeur tant aux États-Unis qu’en zone euro.
Les investisseurs ont peu réagi au rebond de la production industrielle en France en juin et au fait que l’excédent commercial en Allemagne s’est réduit le même mois.
Parmi les valeurs, Gemalto faisait partie des rares hausses (+0,42% à 69,56 euros). Le groupe a annoncé l’acquisition de la société américaine SafeNet pour un montant de 890 millions de dollars (666 millions d’euros) et prévoit grâce à elle de dépasser "d’environ 10%" son objectif d’activités opérationnelles pour 2017, jusque-là fixé à 600 millions d’euros.
Les valeurs défensives, privilégiées dans un contexte de marché difficile, résistaient, comme Air Liquide (-0,18% à 92,86 euros) et Essilor (+0,38% à 72,00 euros).
En revanche, les valeurs industrielles étaient affectées par la prudence des investisseurs. Renault perdait 2,76% à 56,39 euros, PSA Peugeot Citroën 3,01% à 9,62 euros, Lafarge 1,72% à 54,15 euros et Saint-Gobain 1,30% à 35,22 euros.
Air France-KLM lâchait 4,08% à 7,00 euros. Le groupe a annoncé une hausse de 1,9% de son trafic passagers en juillet et une baisse moins rapide (-0,9%) de son trafic cargo mais il souffre toujours de surcapacités en Amérique du Nord et en Asie.
Vivendi se démarquait peu du marché (-0,49% à 19,19 euros). L’opérateur de téléphonie Telecom Italia étudie une contre-offre sur sa filiale, le brésilien GVT, qui est déjà convoité par l’espagnol Telefonica, affirme le Financial Times.
Derichebourg était en nette baisse (-1,67% à 2,00 euros), après la publication d’un chiffred’affaires au troisième trimestre de son exercice 2013-2014 inférieur aux attentes de certains analystes, même si la société est parvenue à le stabiliser .
Europacorp souffrait (-5,07% à 4,21 euros). La société de production de Luc Besson, a pourtant quasiment doublé sur un an son chiffre d’affaires au premier trimestre et se dit très optimiste pour le second semestre après le démarrage en trombe du film Lucy.
Pharmagest perdait 1,63% à 90,06 euros, malgré un chiffre d’affaires en hausse de 0,8% au deuxième trimestre des objectifs visant à une amélioration de sa rentabilité opérationnelle sur le semestre.
Nicox prenait 4,76% à 1,85 euro, après avoir annoncé vouloir exercer son option de co-promotion d’un traitement ciblant le glaucome et l’hypertension oculaire aux États-Unis, encore en phase de développement.
Paris Orléans gagnait 0,63% à 17,56 euros. La société cotée regroupant l’ensemble des activités du groupe Rothschild, a vu son chiffre d’affaires bondir de 46% au premier trimestre de son exercice décalé, grâce à une forte activité de conseil en fusions et acquisitions.


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