
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
La Bourse de Paris a fini en net repli lundi et sous les 5.500 points (-1,18%), lestée par la menace de Donald Trump de nouvelles taxes contre la Chine au moment où les investisseurs attendaient un accord.

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L’indice CAC 40 s’est enfoncé de 65,32 points à 5.483,52 points, dans un volume d’échanges moyen de 3,3 milliards d’euros. Vendredi, la cote parisienne avait terminé en légère hausse de 0,18%.
La cote parisienne a accusé le coup dès l’ouverture au point de perdre même brièvement plus de 2% avant de réduire une partie de ses pertes.
"Ces déclarations sont d’autant plus inattendues que les marchés évoquaient la possibilité d’un accord ce vendredi" et qu’"il y a quelques jours encore l’administration américaine adoptait une tonalité positive", a observé auprès de l’AFP Alexandre Baradez, un analyste de IG.
"Cela suscite donc beaucoup de questions et tous les secteurs les plus exposés à l’économie chinoise ont souffert", a-t-il complété.
Le président américain a déterré la hache de la guerre commerciale dimanche en annonçant inopinément une hausse de 10% à 25% des droits de douane imposés sur 200 milliards de dollars de biens chinois exportés chaque année aux États-Unis.
Ces nouvelles sanctions commerciales sont censées entrer en vigueur dès vendredi au motif que les négociations avancent "trop lentement" aux yeux de Donald Trump. Celui-ci a en outre menacé aussi de taxer au même taux la totalité des produits importés de Chine si les tractations commerciales ne lui donnent pas satisfaction.
Malgré la pression, Pékin a assuré que les négociateurs chinois se préparaient toujours à se rendre aux États-Unis pour poursuivre les discussions, la prochaine rencontre étant programmée mercredi.
"Même si les marchés sont habitués à des surprises, venant du président américain, la réaction aujourd’hui est plus forte que d’habitude, car Donald Trump a vraiment pris tout le monde à contre-pied", a estimé M. Baradez.
"Les marchés sont bercés depuis le début de l’année par l’administration Trump"qui émet des signaux positifs au sujet de cet accord et des banques centrales accommodantes. Or, a-t-il développé, entre la Fed qui a refroidi les ardeurs la semaine dernière et ces nouvelles tonalités, ce sont deux gros piliers de la hausse pour les marchés qui sont désormais fragilisés.
– STMicroelectronics lanterne rouge -
Dans ce contexte, la majorité des valeurs du CAC 40 ont fini en baisse.
Le secteur technologique, qui fait partie des dossiers les plus délicats dans la négociation sino-américaine, a payé le prix fort.
STMicroelectronics a ainsi enregistré la plus importante baisse de l’indice (-4,93% à 15,62 euros).
Le luxe et l’automobile ont aussi fait les frais des tensions.
Valeo a plongé de 4% à 30,97 euros à l’instar de Faurecia (-4,97% à 43,05 euros) et de Plastic Omnium (-4,54% à 25,42 euros). Les constructeurs Peugeot (-2,12% à 22,16 euros) et Renault (-2,32% à 58,87 euros)ont aussi accusé le coup.
Les géants du luxe Kering (-2,47% à 513 euros), LVMH (-3% à 344,40 euros) et Hermes (-0,55% à 618 euros) ont également souffert.
ArcelorMittal a fondu de 2,37% à 18,37 euros. En pleine tension commerciale, le groupe a annoncé lundi une réduction temporaire de sa production d’acier brut en Europe, en raison notamment d’une demande en baisse conjuguée à des importations en progression et à des prix de l’énergie élevés.
Total a cédé 2,40% à 47,99 euros au lendemain de la signature d’un accord avec Occidental Petroleum en vue de racheter les actifs de la société américaine Anadarko en Algérie, au Ghana, au Mozambique et en Afrique du Sud, pour un montant de 8,8 milliards de dollars (7,8 milliards d’euros).
Carrefour a reculé de 0,29% à 17,11 euros après avoir précisé vendredi son nouveau plan de restructuration, prévoyant jusqu’à 3.000 départs dans ses hypermarchés français dans le cadre d’un projet de rupture conventionnelle collective.
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