
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
La Bourse de Paris s’enfonçait davantage jeudi un peu avant la clôture de la séance (-1,31%), après avoir perdu brièvement plus de 2%, plombée par les valeurs du secteur bancaire, dans le sillage de la Bourse de Milan.

Publié le par à 0 h 0
La mutuelle d’épargne GARANCE propose des offres de bienvenue exceptionnelles pour les nouvelles souscriptions en assurance vie sur Garance Epargne (jusqu’à 2.500€ offerts !), ou en PER via le PER Sérénité ou le plébiscité PER Vivacité (jusqu’à 750€ offerts). Les primes en euros sont soumises à conditions de versements en montant (cumulables sur toute la période des offres), sans imposition de répartition supplémentaire sur des unités de compte. Offres applicables jusqu’au 31 décembre 2025.
A 17H07 , l’indice CAC 40 perdait 27,25 points à 4.323,11 points, dans un volume d’échanges de 3,2 milliards d’euros. La veille, il avait pris 0,54%, après une hausse de 1,05% mardi.
La place parisienne avait ouvert en baisse avant de remonter la pente. Mais elle ne parvenait pas à garder le cap, imitant en fin de séance la Bourse de Milan, qui reculait de 3,52%sous le poids des banques.
"C’est le secteur bancaire italien qui est l’objet des inquiétudes des investisseurs" sur le marché parisien, analyse Frédéric Rozier, conseiller de gestion chez Meeschaert Gestion Privée.
M. Rozier observe "un effet contagion sur l’ensemble du secteur", touchant des banques en bonne santé, "largement capitalisées", selon lui.
A la Bourse de Milan, quelques titres du secteur bancaire souffraient dans l’après-midi, à l’image de Banco Popolare di Milano (-7,31% à 7,68 euros) ou encore la banque BMPS (Monte dei Paschi di Siena) qui plongeait de 8,02% à 0,65 euros.
Cette baisse se déroulait au surlendemain de la signature d’un accord entre Rome et la Commission européenne au sujet de la gestion des créances douteuses des banques italiennes, qui les fragilisent et freinent la reprise en Italie.
L’accordest considéré comme décevant par plusieurs observateurs, alors que ces crédits en souffrance s’élèvent à quelque 200 milliards d’euros, leur plus haut niveau depuis 20 ans.
Dans ce contexte, les titres du secteur bancaire tiraient la place parisienne vers le bas, à l’image de Société Générale (-3,27% à 34,21 euros), BNP Paribas (-2,93% à 42,86 euros) ou encore Crédit Agricole (-2,74% à 8,93 euros).
as/fka/aro


Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.

Comme largement attendu, le taux d’intérêt directeur principal de la BCE sera maintenu à 2 %.

La prévision de croissance tricolore serait de +0.9% selon l’INSEE, au même niveau que l’inflation. L’institution voit même le frémissement d’un (...)

L’introduction en bourse de SpaceX se prépare en coulisses, mais rien n’est encore certain. Les salariés ont reçu un courrier dans ce sens. (...)

L’entrée de nouveaux investisseurs au capital de Trade Republic, dont les familles Arnault et Agnelli, valorisent désormais la fintech à plus de (...)

Comme anticipé par de nombreux investisseurs, Euronext a acté l’entrée du titre Eiffage et la sortie d’Edenred au sein du CAC 40.