
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
La Bourse de Paris se repliait jeudi matin (-0,55%), fragilisée par l’incertitude sur l’avenir de la politique monétaire américaine et le dossier grec.

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A 09H34 , l’indice CAC 40 perdait 25,40 points à 4.585,54 points. La veille, il s’était légèrement replié de 0,29%.
"Le risque d’un contre-pied après la forte hausse desindices européens n’est pas nul", estiment dans une note les stratégistes du courtier Aurel BGC. Le marché parisien avait signé huit séances de hausses consécutives avant de se replier mardi.
La cote accueillait avec circonspection les conclusions de la banque centrale américaine à l’issue de sa première réunion de politique monétaire de l’année.
La banque centrale américaine (Fed) a réaffirmé mercredi qu’elle ferait preuve de "patience" avant de normaliser sa politique monétaire tout en laissant entendre que la croissance "solide" de l’économie pourrait l’amener à relever ses taux cette année, une échéance que les investisseurs tentent d’anticiper.
Comme attendu, le Comité de politique monétaire (FOMC) de la Fed a maintenu ses taux directeurs entre 0 et 0,25%, les laissant au même niveau que depuis 2008 afin de continuer à soutenirl’activité.
"Le fait d’avoir mis le poids" sur la patience "tout en signalant que la croissance américaine (tout comme l’emploi) restait solide a quelque peu perturbé les investisseurs", estime John Plassard, de Mirabaud Securities.
Dans ce contexte, le marché restera attentif aux demandes hebdomadaires d’allocations chômage aux Etats-Unis, avant une première estimation de la croissance dans le pays au quatrième trimestre vendredi.
"Évidemment", la Fed ne constitue pas "la seule préoccupation des marchés étant donné les événements en Grèce", souligne de son côté Michael Hewson, un analyste de CMC Markets.
Le président de la Commission européenne a prévenu jeudi qu’il n’était "pas question de supprimer la dette grecque" mais que "des arrangements sont possibles", au lendemain des déclarations d’intention du nouveau gouvernement grec.
Mercredi, le gouvernement Tsipras a multiplié les annonces tirées du programme de gauche radicale Syriza, contraires aux préconisations de la troïka (UE, BCE, FMI), avec pour première conséquence une chute massive des banques à la Bourse.
"En Europe, le nouveau gouvernement grec ne chôme pas et prend des mesures dont les investisseurs se demandent comment elles seront financées", soulignent de leur côté les stratégistes d’Aurel BGC.
Pour M. Plassard, "la Grèce inquiète, a inquiété et inquiétera les marchés de la zone euro et dans une moindre mesure les marchés américains".
Ailleurs en Europe, les investisseurs examineront notamment les chiffres du chômage et l’inflation provisoire de janvier en Allemagne.
Du côté des valeurs, Vallourec (-6,59% à 18,43 euros) était plombé par l’annonce de dépréciations d’actifs et d’une perte nette en 2014.
Les valeurs du secteur pétrolier et parapétrolier étaient également fragilisées après l’annonce d’une réduction de ses investissements par le géant pétrolier Shell. Total perdait 2,61% à 44,38 euros, CGG 4,18% à 5,20 euros, Maurel et Prom 2,11% à 6,86 euros et Technip 2,06% à 51,47 euros.
Unibail-Rodamco reculait de 2,03% à 239,15 euros, à contre-pied de l’annonce d’une relévement des objectifs du groupe pour 2016/2019 et une année 2014 qualifiée d’"exceptionnelle".
GTT progressait de son côté de 0,39%à 48,60 euros après avoir reçu une commande d’équipement de cinq méthaniers brise-glace destinés au gigantesque projet gazier de Yamal, dans l’Arctique russe.
Econocom prenait 3,02% à 6,68 euros, tablant sur une nouvelle année de croissance après un cru 2014 marqué par une fortehausse de son activité.
Lucibel plongeait en revanche de 9,13% à 4,28 euros après un exercice 2014 contrasté, selon l’entreprise.
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