
Profil-type de l’investisseur particulier en bourse
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La Bourse de Paris a terminé en hausse vendredi (+0,44%), après avoir eu fort à faire avec de nombreux résultats d’entreprises et sans être perturbée par une croissance américaine décevante.
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L’indice CAC 40 a pris 19,23 points à 4.439,81 points, dans un volume d’échanges nourri de 3,9 milliards d’euros. Laveille, il avait perdu 0,59%.
Le marché a ouvert en hausse avant de faiblir et d’évoluer dans de très faibles marges tout au long de la séance, avant de se ressaisir peu avant la clôture.
"Le marché tient relativement bien malgré une réunion de la Banque du Japon décevante et une croissance américaine deux fois inférieure aux attentes", relève Alexandre Baradez, analyste chez IG France.
Selon lui, les indices boursiers ne sont pas à l’abri d’une phase de correction compte tenu de plusieurs indicateurs économiques peu rassurants et de "l’absence de réponse des grandes banques centrales", lesquels avaient pourtant suscité beaucoup d’espoirs au sein des marchés depuis le Brexit.
Le marché n’a pas été troublé par les chiffres de la croissance aux Etats-Unis qui a déçu les attentes au deuxième trimestre, avec 1,2% en rythme annualisé alors que les analystes tablaient sur +2,6%.
Les investisseurs avaient commencé la journée en prenant connaissance de la décision prise par la Banque du Japon qui a annoncé des ajustements à sa politique monétaire, en évoquant notamment les incertitudes que fait peser le Brexit.
Enfin, la séance a été surtout une nouvelle fois animée par de très nombreux résultats d’entreprise, diversement reçus.
"Les écarts sont de nouveau substantiels sur certaines valeurs qui ont publié leurs résultats, mais ils se neutralisent au niveau des indices", souligne le courtier Aurel BGC.
Parmi les valeurs, Kering a profité de l’accélération de la croissance de ses ventes au deuxième trimestre et d’un discours confiant pour le second semestre.
Natixis a pris 7,59% à 3,69 euros après avoir enregistré desrésultats au-dessus des attentes au deuxième trimestre malgré un bénéfice net en baisse de 15%, affecté par une dépréciation liée à l’assureur-crédit Coface dont la banque est actionnaire.
Lagardère a été recherché (+7,20% à 22,85 euros). Le groupe a dégagé au premier semestre un résultat net part du groupe de 44 millions d’euros, multiplié par cinq sur un an, grâce notamment à la cession d’un immeuble.
EDF a pris 6,41% à 11,71 euros, soutenu par des résultats en baisse mais supérieurs aux attentes pour le premier semestre dans un environnement difficile.
Essilor à l’inverse a souffert (-5,80% à 114,55 euros) de la révision en baisse d’un des objectifs d’activité sur l’exercice en cours.
Safran a perdu 5,37% à 60,80 euros, le marché se montrant déçu après une publication pourtant de bonne facture pur le premier semestre.
jbo/fpo/aro
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