
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
La Bourse de Paris a fait ses premiers pas en net recul lundi matin (-1,11%), tirée vers le bas par les négociations sans fin entre la Grèce et ses créanciers.

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A 09H11 , l’indice CAC 40 perdait 54,40 points à 4.846,79 points. Vendredi, il avait déjà perdu 1,41%.
"Lassés, exténués, fatigués, exacerbés, énervés, vexés, aigris, choqués, contrariés, dépités, froissés, mortifiés, humiliés, offusqués, tourmentés, piqués, inquiétés, heurtés, fâchés, molestés, les mots manquent aux marchés et aux investisseurs pour qualifier actuellement la situation grecque", a souligné John Plassard de Mirabaud Securities.
"Vendredi fut la goutte qui fit déborder la tendance. Entre rumeurs, annonces fracassantes et contradictions, le coeur des marchés ne balance plus du tout", a-t-il ajouté.
Les discussions entre la Grèce et ses créanciers, UE et FMI, semblent en effet plus proche que jamais du point de rupture, après un nouvel échec dimanche des négociations sur la poursuite du financement du pays, qui se rapproche inexorablement d’un défaut de paiement.
Les rencontres reprendront jeudi dans le cadre de l’Eurogroupe, le cénacle des ministres des Finances de la zone euro, en présence de la directrice générale du FMI, Christine Lagarde.
"Que dire de la semaine qui nous attend alors ? Explosive ? Détonante et j’en passe ?", s’est encore interrogé M. Plassard.
"Avec mercredi 17 juin la réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed) et le lendemain le18 juin la réunion de l’Eurogroupe que plusieurs investisseurs considèrent comme la réunion de la dernière chance (est-ce une réelle chance d’ailleurs ?) pour la Grèce, les indices devraient connaître de très fortes zones de turbulences", a-t-il ajouté tout en continuant à croire "qu’une solution (bancale ?) sera trouvée en dernière minute".
"Il y a deux problématiques macroéconomiques claires pour les marchés cette semaine" entre la réunion du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) et la réunion européenne sur la Grèce, a aussi souligné Chris Weston, unanalyste de IG.
Si la hausse des taux directeurs de l’institution, redoutée par les investisseurs, ne semble pas se profiler dès ce mois-ci, la conférence de presse de sa présidente Janet Yellen n’en est pas moins très attendue pour tenter d’y voir clair dans le calendrier et les intentions de la Fed.
Du côté des indicateurs, la production industrielle en mai aux États-Unis et l’activité industrielle dans la région de New York en juin sont à l’agenda.
Sur le terrain des valeurs, le contexte difficile pesait en premier lieu sur les valeurs industrielles,à l’instar de Peugeot reculant de 2,03% à 18,34 euros et Alcatel-Lucent de 1,85% à 3,34 euros, ainsi que sur les bancaires Crédit Agricole cédant 2,02% à 13,13 euros, BNP Paribas 1,61% à 54,41 euros et Société Générale 1,67% à 42,18 euros.
Et pour les valeurs aéronautiques, l’ouverture des portes du 51e salon de l’aéronautique et de l’espace du Bourget, avait du mal à contrebalancer l’impact négatif de l’environnement général. Airbus perdait ainsi 1,11% à 59,77 euros et Dassault Aviation 0,42% à 1.197 euros.
Saint-Gobain baissait de 1,32% à 40,49 euros, alors que le président du conseil d’administration de Sika, Paul Hälg, affirme dans un entretien être plus décidé que jamais à s’opposer au rachat du groupe suisse de spécialités chimiques par le géant français Saint-Gobain même si la procédure prendra des mois, voire des années.
Alstom descendait de 0,44% à 26,29 euros. Le conglomérat industriel américain General Electric a confirmé avoir reçu une communication de griefs de la Commission européenne, qui examine son projet de rachat du pôle énergie du français Alstom, se disant prêt à d’éventuelles concessions.
Figeac Aéro était à l’équilibre (-0,05% à 19,71 euros). L’équipementier aéronautique a réalisé un chiffre d’affaires de 203,8 millions d’euros pour son exercice décalé 2014/2015, clos le 31 mars, en hausse de 25,6%.
Elior profitait pour sa part (+0,64% à 18,11 euros) du relèvement de sa recommandation à "surpondérer" contre "neutre" par Barclays.
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