
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
L’indice parisien, à presque 4 000 points, témoigne de la relative sérénité de l’ensemble des investisseurs. Après une première réaction émotionnelle post-séisme nippon il y a dix jours, qui avait fait reculer les marchés occidentaux...
Publié le par
La mutuelle d’épargne GARANCE propose des offres de bienvenue exceptionnelles pour les nouvelles souscriptions en assurance vie sur Garance Epargne (jusqu’à 2.500€ offerts !), ou en PER via le PER Sérénité ou le plébiscité PER Vivacité (jusqu’à 750€ offerts). Les primes en euros sont soumises à conditions de versements en montant (cumulables sur toute la période des offres), sans imposition de répartition supplémentaire sur des unités de compte. Offres applicables jusqu’au 31 décembre 2025.
La séance boursière du jour voit l’ensemble des indices européens dans le vert. Malgré les effets d’annonces relatifs à l’actualité, scrutés avec attention depuis plusieurs semaines (enjeux du pétrole au Moyen-Orient, du drame japonais et du nouveau séisme touchant l’Asie du Sud-est hier), les marchés actions reprennent leur marche en avant.
L’indice parisien, à presque 4 000 points, témoigne de la relative sérénité de l’ensemble des investisseurs. Après une première réaction émotionnelle post-séisme nippon il y a dix jours, qui avait fait reculer les marchés occidentaux (excepté les USA), les flux de capitaux restent investis. Cela signifie que les effets boursiers liés à la catastrophe sont digérés.
Toutefois, les volumes échangés sont exceptionnellement faibles, notamment à Wall Street ils sont 25% moindres qu’habituellement. Idem du côté du Cac 40, où les volumes échangés sont proches de 3 milliards d’euros (contrepoint de la semaine passée, où les flux d’échanges s’élevaient à 6 milliards par séance). Cet indicateur surveillé de près par les traders, témoigne de la situation attentiste actuelle des intervenants.
Autre indice révélateur, le VIX, mesurant la volatilité des marchés va dans le même sens. Celui-ci avait atteint un pic à près de 30 la semaine dernière. Signe d’apaisement, il a considérablement baissé depuis, à 17.5 aujourd’hui. En résumé, il n’y a pas de désinvestissement, mais pas non plus de grand appétit pour l’acquisition d’actions. Pas de direction franche sur les marchés donc, mais plutôt une phase d’observation où peu d’intervenants prennent l’initiative.
Du côté des marchés de taux, des tensions prévisibles sont réapparues depuis mercredi, particulièrement sur le Portugal. L’évidence du recours à l’aide européenne est désormais intégrée et « pricée » par les marchés (dans le cas contraire, les indices européens seraient dans le rouge aujourd’hui et les répercussions sur les valeurs bancaires seraient visibles). Attention néanmoins. Le fait que le Portugal reçoive le soutien du FESF n’estompe pas toutes les incertitudes, notamment à moyen terme : cela pose la question de la « soutenabilité » de la dette, qui va s’étendre à d’autres Etats exposés, en premier lieu l’Espagne et l’Irlande. Leurs taux de remboursement (respectivement 5.5% et 10% à 10 ans) ne pourront pas rester aussi élevés. Or le fonds Européen n’est pas inépuisable, pour pouvoir soulager durablement ces dettes.
Concernant les devises et la parité Euro/dollar, il existe là encore une phase d’observation, sans véritable tendance marquée chez les cambistes. A 1.4120 $ / 1.4140 $, le change reste étriqué dans une bande de fluctuation étroite et n’appelle pas de tension particulière. Disons qu’un franchissement des 1.4215 raviverait la tension à l’achat tandis qu’une rupture des 1.4050 relancerait la pression vendeuse.
Ce commentaire est signé Fabrice Cousté, DG de CMC Markets France


Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.

Comme largement attendu, le taux d’intérêt directeur principal de la BCE sera maintenu à 2 %.

La prévision de croissance tricolore serait de +0.9% selon l’INSEE, au même niveau que l’inflation. L’institution voit même le frémissement d’un (...)

L’introduction en bourse de SpaceX se prépare en coulisses, mais rien n’est encore certain. Les salariés ont reçu un courrier dans ce sens. (...)

L’entrée de nouveaux investisseurs au capital de Trade Republic, dont les familles Arnault et Agnelli, valorisent désormais la fintech à plus de (...)

Comme anticipé par de nombreux investisseurs, Euronext a acté l’entrée du titre Eiffage et la sortie d’Edenred au sein du CAC 40.