
Profil-type de l’investisseur particulier en bourse
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Hausse record du pétrole, avec un gain de près de 10% en une seule semaine. En cette journée des 3 sorcières, les investisseurs restent indécis. La Grèce inquiète et le pétrole devient de nouveau de plus en plus cher.
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Le pétrole s’apprête à terminer la semaine en forte hausse malgré la surabondance persistante de l’offre mondiale. Le contrat de mai sur le WTI s’échangeait en baisse de 55 centimes ce matin à $56.16. Le Brent sur juin s’échangeait à $63.45 ce matin, il est sur la hausse hebdomadaire la plus importante en quatre ans avec près de 9.6%.
Le département de l’énergie américain a annoncé que la production de pétrole par méthode de schiste devrait diminuer en mai. Le pétrole a également été soutenu par le conflit au Yémen. Al-Qaida a pris le contrôle de plusieurs positions clefs dans le sud du pays avec notamment un aéroport, un port maritime et une raffinerie.
Les stocks américains ont progressé à un plus haut niveau la semaine dernière alors que la production a commencé à diminuer. La baisse d’activité des plateformes américaines expliquent principalement cette baisse de production.
Sur les métaux précieux, l’once d’or se dirige quant à elle vers une perte sur la semaine. L’once d’or semble se stabiliser autour des $1200 en attendant la réunion de la Fed à la fin du mois. Elle cotait ce matin en dessus de ce seuil symbolique à $1197.85.
Les principales places actions ont souffert hier. En Europe, faut de catalyseurs, le CAC 40 a cédé 0.57% à 5 224.49 points, le Dax 1.90% à 11 998.86 points et le Footsie 0.51% à 7 060.45 points. De même, en dépit de bons résultats trimestriels notamment du côté des banques, Wall Street a également très légèrement concédé du terrain. Le Dow Jones recule de 0.04% à 18 105.77 points, le S&P500 de 0.08% à 2 104.99 points et le Nasdaq de 0.06% à 5 007.79 points.
Les principales places boursières américaines ont stagné pour la séance d’hier. En effet, les investisseurs n’ont pas eu l’appétit pour le risque et ce, malgré la publication de statistiques économiques qui conforte le maintien de la politique accommodante de la Fed. Sur le front des annonces économiques, les opérateurs de marché ont pris connaissance des mises en chantier aux USA qui affichent une augmentation de +3% alors que le consensus tablait sur +10%. L’autre mauvaise statistique concerne les permis de construire qui ont été publiés à 1 039 000 contre 1,08 million pressentis. Enfin, les nouvelles inscriptions au chômage s’établissent à 294 000 nouveaux inscrits au lieu des 280 000 attendus par les analystes.
Ce matin, la Bourse de Tokyo a reculé de 1.17% à 19 652.88 points, consolidant avant le début des publications des entreprises japonaises la semaine prochaine. Les principales places européennes sont attendues en ordre dispersé à l’ouverture. Le dossier grec devrait petit à petit revenir sur le devant de la scène. Même si le premier ministre grec, Alexis Tsipras, montre son optimisme, un accord est encore loin d’être trouvé et une des échéances principales arrive à grand pas. La Grèce pourrait se retrouver à la mi-mai à cours de trésorerie.
La monnaie unique regagne un peu de terrain face au billet vert soutenue par les propos du président de la Banque centrale américaine, qui s’est montré optimiste sur l’efficacité de la politique monétaire menée par la banque centrale pour redynamiser l’économie européenne.
En parallèle, le dollar américain ressort pénalisé par des indicateurs économiques qui s’affichent en dessous des attentes. Après l’activité manufacturière dans la région de New York et la production industrielle aux Etats-Unis, ce sont les inscriptions hebdomadaires au chômage qui déçoivent en atteignant un plus haut niveau de six semaines et les mises en chantier progressent moins que prévu. Ce contexte économique déstabilise les investisseurs qui avaient pris l’habitude d’indicateurs solides en provenance des Etats-Unis et sème le doute sur un prochain relèvement des taux de la part de la Réserve fédérale américaine.
Ce matin, la monnaie unique se négocie pour 1,0760 dollar face au billet vert et s’échange pour 0,7208 pence face à la devise britannique. La devise nippone de son coté, recule face à l’euro pour s’échanger à 127,97 yens et atteint 118,92 yens contre le dollar américain.
Aujourd’hui les investisseurs suivront la publication des chiffres sur l’inflation au sein de la zone euro pour le mois de mars, dévoilés à la suite de la conférence de presse de Draghi il y a deux jours au cours de laquelle le président de l’institution a rappelé l’objectif d’atteindre une inflation proche de 2%.
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