
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
Mardi 16 août 2011, les bourses européennes ouvraient en légère baisse face aux mauvais chiffres de la croissance allemande et espagnol. Cependant, les marchés semblent attentistes avant la réunion Sarkozy-Merkel cet après-midi.

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Avant la réunion entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel cet après-midi, les marchés boursiers ont ouvert en légère baisse ce mardi 16 août face aux chiffres de la croissance allemande.
En effet, avec un produit intérieur brut (PIB) en hausse de seulement 0,1% alors que tous les experts tablaient sur 0,4% les chiffres de la croissance allemande ont déçus.
De son côté, la croissance espagnol, +0,2%, n’a pas été non plus un véritable moteur d’optimisme sur les marchés, mais les baisses enregistrées sont pour le moment assez légères.
Ainsi, après trois séances en hausse à Paris, la place parisienne ouvrait en baisse de -0,73%, Francfort -1,02%, Londres -0,68%, Madrid -0,65% et Milan -0,28%.
Pour rappel, lundi 15 août, Paris clôturait en hausse de +0,78% tout comme les autres bourses européennes, Londres +0,57%, Francfort +0,41%, Madrid +0,71% et la Bourse Suisse +1,37%.
Cette quasi stagnation s’explique par l’attentisme des spéculateurs avant la rencontre franco-allemande qui aura lieu à 16h00
"Les marchés attendent un signe très fort : y a-t-il un pilote dans l’avion pour gouverner la zone euro ? Va t-on enfin parler d’une même voix au sein du couple franco-allemand et cesser d’entretenir la cacophonie qui perdure depuis de longs mois et affolent les investisseurs ?", s’interrogeait un analyste parisien sous couvert d’anonymat.
Pourtant, les récentes déclarations des délégations allemandes et françaises n’abondent surement pas dans ce sens puisque le porte parole allemand annonçait hier qu’"Il ne faut rien attendre de spectaculaire".
C’est notamment les discussions autour de la possible création d’euro-obligations qui intéressaient les investisseurs, mais le porte parole allemand assure qu’il n’en sera pas question lors de cette rencontre.
Ces obligations communes à la zone euro qui seraient très bien vu par l’ensemble des investisseurs ne seront donc pas à l’ordre du jour car ni Berlin ni Paris n’y sont pour le moment favorable puisque une telle décision annoncerait forcément la perte de la maîtrise totale de la politique budgétaire et serait donc un pas vers un fédéralisme économique que les deux états ne voient pas pour le moment d’un bon oeil alors que des échéances électorales approchent. Pourtant, en Allemagne, le parti socialiste se dit très favorable à cette mesure et les verts ont dores et déjà décider de faire campagne sur ce sujet.
Il faudra donc attendre la fin de la réunion cet après midi pour connaitre l’évolution réelle des bourses européennes ce mardi. Les choses pourraient donc bien s’accélérer en fin de séance.


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