
Edenred cède sa place à Eiffage au sein de l’indice CAC40
Comme anticipé par de nombreux investisseurs, Euronext a acté l’entrée du titre Eiffage et la sortie d’Edenred au sein du CAC 40.
Dans l’environnement économique et financier actuel, l’investisseur peut encore trouver des opportunités d’investissement dans les obligations non notées et les actions offrant à la fois rendement élevé et bonne visibilité.
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Les classes d’actifs offrant un couple risque-rendement raisonnable se font de plus en plus rares, au moment où pressions inflationniste et fiscale menacent d’augmenter. Un investisseur disposant d’un [a[patrimoine]a] théorique de 1 million d’euros voit ce dernier grignoté chaque année par l’[a[inflation]a] (1,5% actuellement) et la fiscalité (1,5% à 2,5% additionnels). Avant même d’allouer son capital, c’est donc une perte de 3% à 4% qu’il faut compenser. Face à une telle contrainte, il reste aujourd’hui peu de classes d’actifs permettant à la fois de contrebalancer l’érosion naturelle du [a[patrimoine]a] et de s’assurer une performance raisonnable (au moins 3% par an, soit un gain total de 6% à 7% par an).
Parmi les alternatives traditionnellement considérées, les [a[fonds en euros]a] et l’[a[assurance-vie]a] sont pénalisés par la baisse des taux. Compte tenu du passif des assureurs, ces supports voient leur rendement net reculer année après année, pour se situer actuellement entre 3% et 3.5%. Les obligations souveraines attirent de moins en moins les investisseurs. Au regard des risques de contagion liés à la crise de la dette publique dans la zone euro, de nombreux Etats sont obligés de proposer des primes conséquentes, qui dans certains cas soulèvent la question de la soutenabilité de la dette. Les obligations d’entreprises de catégorie « [a[Investissement]a] » (« Investment Grade ») n’offrent elles aussi qu’un rendement autour de 3%, ce qui est bien maigre mais logique après deux années où les investisseurs les ont achetées massivement. Il faut donc regarder ailleurs.
Des opportunités d’[a[investissement]a] demeurent dans l’univers des obligations à haut rendement où des entreprises dont la dette n’est pas notée par les agences de notation (ce qui se traduit par un rendement supérieur tel que Havas avec un rendement de 3.90% sur 3 ans, Rallye avec un rendement de 5.05% sur 4 ans ou les Galeries Lafayette avec un rendement de 4.45% sur 6 ans), et des actions offrant une bonne visibilité sur les cash-flows et les dividendes versés aux actionnaires. Le tout est d’être sélectif car selon les classes d’actifs, les promesses de rentabilité élevée vont souvent de pair avec une prise de risque non négligeable.
C’est dans l’univers des actions qu’il y a certainement le plus de valeur à extraire. Au sortir de la crise financière, les entreprises affichent des bilans sains. Elles se sont restructurées très tôt et ont été prudentes dans l’utilisation de leur trésorerie lors de la reprise économique. Certaines ont privilégié l’externalisation de la valeur à travers des opérations de fusions-acquisitions ou des scissions (cas d’Accor avec Edenred). A cela s’ajoutent des ratios de valorisation qui demeurent raisonnables, et une prime de risque sur les actions encore appréciable. Avec la confirmation de la reprise économique dans les pays développés, les actions ont de beaux jours devant elles, y compris pour les valeurs dites de rendement.
On peut toujours s’intéresser à des dossiers comme Total ou Royal Dutch Shell, qui offrent à la fois de la croissance des résultats et un rendement du dividende supérieur à 5%. Les actions à rendement élevé et avec de la croissance peuvent constituer jusqu’à 30% d’un portefeuille type, au côté de poches d’actifs plus prudentes (crédit de catégorie [a[investissement).
bourse tendance avec Fargo


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