
Les 10 actions américaines à suivre en 2026 selon UBS
Après une nouvelle année boursière en forte croissance, UBS a publié sa liste des 10 actions US les plus attractives à suivre en 2026.
Le gouvernement avait souhaité favoriser le financement des PME françaises en lançant le PEA-PME. Mais voilà, c’est avant tout les PME allemandes qui en profitent. Plus nombreuses, les grosses PME allemandes sont plus attractives pour les gestionnaires de fonds.

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En créant le [a[PEA-PME]a], le gouvernement espérait aider les petites entreprises françaises à se financer plus facilement sur les marchés. Ce nouveau placement sans impôt, réservé aux épargnants prêts à acheter de petites valeurs, devait permettre aux sociétés hexagonales de grandir plus vite et de créer des emplois.
– 45% des fonds collectés financent les PME allemandes
Mais, déception, depuis son lancement officiel, le 5 mars, près de 45 % des capitaux collectés par les [a[sicav]a] dans cette nouvelle enveloppe fiscale ont en réalité été investis… hors de l’Hexagone, selon une étude réalisée par la société d’investissement Arkeon Finance. « En particulier, les valeurs allemandes sont très présentes dans les portefeuilles des fonds, relève Robert de Vogüé, son président. Les gestionnaires sont allés chercher en Allemagne les belles PME industrielles qu’on ne trouve pas en nombre suffisant chez nous. »
– Ouverture de l’Europe oblige
Ainsi comme le rappelle à juste titre le quotidien Le Figaro, le gouvernement n’y peut rien. Il lui était impossible de réserver le PEA PME aux actions françaises. La France se serait immanquablement attiré les foudres des autorités européennes, qui l’ont déjà sermonnée autrefois, quand le vieux plan d’épargne en actions (PEA) était encore une chasse gardée pour les valeurs nationales. Le gouvernement a donc dû se contenter de tabler sur le traditionnel penchant des gérants français pour les actions françaises, qu’ils affectionnent souvent plus que les valeurs européennes. Mais ces gérants sont aussi pragmatiques. Leur première mission est d’essayer d’offrir de bons placements aux épargnants. Et pour cela, la plupart ne s’autorisent à détenir qu’un très faible pourcentage des titres d’une même société. C’est la condition sine qua non pour pouvoir les revendre vite en cas de besoin, sans faire trop baisser les cours. « En pratique, un fonds PEA PME qui gère 100 millions d’euros - ce qui est déjà beaucoup aujourd’hui - ne peut pas, s’il veut respecter les règles de bonne gestion, investir sur des entreprises dont la capitalisation est inférieure à 200 millions d’euros », rappelle Robert de Vogüe. Une fois épuisé le vivier de sociétés françaises éligibles au PEA PME d’une taille suffisante, les gérants ont donc dû prospecter ailleurs.


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