
TotalEnergies remporte un appel d’offres majeur en Europe
TotalEnergies a été sélectionnée pour installer et opérer 1100 points de recharge haute puissance (HPC) dans le cadre de l’appel d’offres (...)
Fidèle à ce que l’ensemble des commentateurs prédisaient, l’annonce de Jean-Claude Trichet s’inscrit dans la continuité du volontarisme affiché depuis le rehaussement des taux directeurs, début avril...
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Bien qu’aucune nouvelle hausse, à court terme, n’ait été définie, la BCE maintient sous étroite surveillance la hausse de l’[a[inflation]a], avec l’objectif de revenir bien en deçà des 2.6 % relevés en zone euro.
Cette ligne de conduite tranche évidemment avec celle de la banque centrale américaine, très accommodante. Rappelons que l’assouplissement quantitatif (« Quantitative Easing II ») prendra fin en juin, mais sera relayé par une forme de « Quantitative Easing III » : en effet, la Fed réinvestira le produit des obligations américaines arrivant à échéance qu’elle détient, pour acquérir de nouveaux titres souverains. Les derniers chiffres macroéconomiques américains (créations d’emploi moindres qu’attendu, Indice ISM des services en net repli, activité immobilière en repli) démontrent que la Fed n’a pas une grande de marge de manœuvre, pour resserrer sa politique monétaire.
La séance boursière du jour est marquée par la poursuite du mouvement correctif initié il y a deux séances. On remarque le retour des volumes de titres échangés (6 milliards échangés hier sur le Cac 40, probablement autour de 4.5 milliards aujourd’hui, contre 2.5 par séance ces dernières semaines), motivé par un mouvement soutenu de sortie des marchés.
Bon nombre d’intervenants prennent leurs bénéfices après le trend haussier du 18 avril au 2 mai. On pourrait assister à une nouvelle rotation sectorielle, défavorable aux secteurs énergétique/matières premières et automobile. De même, les bancaires sont en repli, exposées pour certaines d’entre elles (BNP et Crédit Agricole notamment) aux incertitudes sur le refinancement des états périphériques de la zone euro et la restructuration de leur dette.
La tendance de « sell-off » est encore plus vigoureuse concernant les commodities. Le reflux marqué des cours des métaux (or, argent), des soft commodities (sucre, coton) ou du [a[pétrole]a] (le WTI new-yorkais perd 3.89% à l’ouverture aujourd’hui), annonce la fin d’une phase spéculative : les hedge funds sortent désormais de ces marchés en prenant leurs profits. La bulle qui avait vu l’or et le baril de [a[pétrole]a] se hisser à des niveaux surévalués (autour de 1 560$ l’once, 115$ le baril de WTI) semble se dégonfler.
Ce commentaire est signé Fabrice Cousté, DG de CMC Markets France
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