Dette américaine : sans surprise, un accord trouvé sur l’extension du déficit
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Les Bourses européennes ont presque toutes clôturé en baisse jeudi dans le sillage du plongeon des valeurs technologiques à Wall Street, malgré une nette progression durant une grande partie de la séance.
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Alors que l’indice CAC 40 a perdu 0,44% à Paris, le Dax allemand a lâché 1,40%, le FTSE 100 britannique 1,52% et l’indice milanais 1,54%.
"Les marchés actions en Europe profitaient d’une forte progression plus tôt avec l’espoir d’un vaccin contre le coronavirus, mais ils sont revenus à la dure réalité lorsque les indices américains ont chuté", observe David Madden, analystemarchés pour CMC Markets UK.
Comme souvent à Wall Street, ce sont les valeurs technologiques qui ont imposé leur tendance. L’indice Nasdaq, à forte coloration technologique, perdait plus de 4% à la mi-séance, le S&P 500 et le Dow Jones abandonnant plus de 2%.
En véritables métronomes des marchés mondiaux, les cinq entreprises parmi les plus surveillées par les investisseurs dans le monde, Alphabet , Amazon, Facebook, Apple et Microsoft, appelées les GAFAM, perdaient chacune plus de 4%.
"Cela montre le problème lorsque l’on a des investisseurs très largement exposés dans une seule direction sur les entreprises technologiques", observe Christopher Dembik, responsable de la recherche économique chez Saxo Banque.
Avant ce brutal retour sur terre, la plupart des places européennes avançaient nettement pour la deuxième séance de suite, tirées notamment par la perspective d’une reprise économique plus rapide qu’espéré, entre une activité manufacturière solide aux Etats-Unis et en Chine et une activité dans les services robuste dans l’Empire du milieu.
Sur le marché obligataire, le taux à dix ans sur les dettes européennes a été quasiment inchangé : il a fini à -0,49% pour l’Allemagne, à -0,19% pour la France, à 0,99% pour l’Italie et à 0,32% pour l’Espagne.
Les entreprises technologiques ont pris de plein fouet la chute de la tech américaine. En Allemagne, Infineon a chuté de 4,82% à 22,89% et Deutsche Telekom de 0,81% à 15,27 euros. Dans l’Hexagone, STMicroelectronics et Worldline ont été les deux entreprises les plus durement touchées, plongeant de 6,92% à 24,20 euros et 5,73% à 76,98 euros.
Volkswagen a pris 1,74%à 142,76 euros et BMW 0,68% à 60,80 euros outre-Rhin. En France, Renault a pris 3,22% à 23,41 euros et Peugeot 2,58% à 14,53 euros, aidées notamment par l’annonce d’un plan de relance de 100 milliards d’euros.
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