
Inflation en zone euro en légère hausse : +2.2% en novembre (vs 2.1% en octobre)
La légère hausse de l’inflation en zone euro devrait confirmer l’absence de baisse des taux directeurs de la BCE.
La Bourse de Paris évoluait à proximité de l’équilibre (+0,11%) lundi matin, espérant toujours une reprise progressive de l’économie, alors que le pic de la pandémie de coronavirus semble avoir été atteint dans plusieurs pays, et analysant les premiers résultats d’entreprises.

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La Bourse de Paris prudente (+0,11%) avant une semaine de résultats
A 09H51 ,l’indice CAC 40 grappillait 4,90 points à 4.503,91 points. Vendredi, il avait fini en forte hausse de 3,42%. Les marchés, "en particulier aux Etats-Unis", font "toujours preuve de résistance malgré les mauvais chiffres qui sont publiés", souligne dans une note Tangi Le Liboux, un stratégiste du courtier Aurel BGC. "Une résistance nettement moins palpable en Europe mais la stabilisation des indices se confirme néanmoins à court terme", ajoute-t-il. De premiers signes d’amélioration sur le front sanitaire dans plusieurs pays européens, couplés aux espoirs d’un traitement contre le Covid-19, ont permis aux Bourses européennes et américaines de terminer sur une note positive la semaine dernière.
Première en Europe à entamer une opération de lent déconfinement, l’Allemagne, où la pandémie est "sous contrôle et gérable", selon le ministre de la Santé, va permettre lundi la réouverture de la plupart des magasins d’une surface inférieure à 800 mètres carrés. Plusieurs autres pays parmi lesquels la France (près de 20.000 morts), l’Espagne (près de 20.500) et l’Italie (plus de 23.600) enregistrent des nombres demalades et de décès en baisse, ce qui permet à leurs gouvernements d’envisager pour les prochaines semaines les premières mesures de déconfinement. Aux Etats-Unis, où la barre des 40.000 morts a été franchie, un bras de fer oppose le président Donald Trump, partisan d’une repriserapide de l’activité économique, à plusieurs gouverneurs démocrates. Le gouverneur de l’Etat de New York, épicentre de l’épidémie dans le pays, a annoncé que la pandémie avait amorcé une courbe "descendante". "Le marché boursier fait face à un triple défi cette semaine : denouveaux indicateurs allemands aussi médiocres les uns que les autres, une saison des résultats d’entreprises qui s’annonce sous de très mauvais auspices et une réunion du Conseil européen qui a de fortes chances de souligner les divergences profondes entre le Nord et le Sud", prévient toutefois Christopher Dembik, responsable de la recherche économique chez Saxo Banque.
"Le risque d’avoir de nouvelles séances marquées par des baisses importantes n’est donc pas à exclure", selon lui. Du côté des indicateurs, le déclin des exportations du Japon s’est fortement accéléré en mars, alors que la pandémie de coronavirus commençait à paralyser l’Europe et les Etats-Unis.
Les banques chinoises ont en outre abaissé lundi d’un cinquième de point leur principal taux de référence, dans le cadre des mesures prises par le pouvoir pour soutenir l’économie face au coronavirus.
En matière de valeurs, de premières publications d’entreprises animaient la cote parisienne.
Vivendi gagnait 2,28% à 21,10 euros, porté par des ventes qui ont bondi de 11,9% au premier trimestre à 3,9 milliards d’euros, le géant des médias restant tracté par sa major Universal dont la cession partielle doit l’aider à affronter des baisses de revenus liées à la crise sanitaire. Bolloré prenait 1,74% à 2,46 euros après avoir annoncé un chiffre d’affaires de près de 6 milliards d’euros, en hausse de 5% au premier trimestre grâce notamment à Vivendi dont la branche musique, Universal Music Group (UMG), a progressé de 13%. Fnac Darty profitait pour sa part (+8,53% à 28,00 euros) de l’obtention d’un prêt de 500 millions d’euros, dont 70% garantis par l’Etat, pour "sécuriser la liquidité du groupe" et "préparer la reprise des activités" affectéespar l’épidémie de Covid-19. Faurecia reculait en revanche de 0,64% à 31,03 euros après avoir vu ses ventes chuter de 13,5% au premier trimestre, fortement affectées par la crise du Covid-19, alors que le groupe espère renouer avec la génération de trésorerie au second semestre. Les constructeurs Renault (+2,61% à 16,81 euros) ou encore Peugeot (+1,15% à 11,84 euros) reprenaient à l’inverse des couleurs. Sanofi montait quant à lui de 2,21% à 88,48 euros, comme le reste du secteur pharmaceutique. Genfit bondissait de 3,44% à 16,51 euros, Ipsen prenait 2,61% à 56,96 euros, Sartorius Stedim 1,93% à 195,10 euros et BioMérieux 1,40% à 108,90 euros.


La légère hausse de l’inflation en zone euro devrait confirmer l’absence de baisse des taux directeurs de la BCE.

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